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Cat – Encore

Cat – Encore



Je n’ai pas toujours été accroc au porno. Il y avait une époque où je m’en étais défait. Je vous avoue que quand on a une copine qui aime découvrir de nouvelles choses, la réalité remplace vite la fiction et les femmes trop parfaites sous certains angles. Elle avait plus d’idées que moi qui avait l’esprit un peu formaté par tous ces films dont l’internet m’avait fait cadeau.

La fac apporte énormément d’opportunités pour assouvir ses lubies – et le soir dont je parle n’est en rien différent. Les soirées estudiantines étant arrosées comme elles le sont, nous avions fini bien ronds tous les deux. Il était bien tard quand nous décidions que nous avions suffisamment bu – et elle me fit comprendre qu’il valait mieux que je sois en mesure d’avoir du répondant pour son cul. Moi et deux potes étions en train de finir nos coups quand elle vint se coller à moi, agrippant mon oreille entre ses dents rapidement avant de me glisser une proposition indécente à l’oreille. Ivre et désinhibé, je ne pouvais qu’accepter.

Je la raccompagnais. Nous rentrions, et l’alcool commençais à nous gagner de plus en plus. Nous nous étions arrêtés dans quelques recoins sombres de la ville pour que je la caresse, que mes doigts sentent à quel point elle avait envie. Elle était intimidante, parfois – un tel appétit me laissait croire qu’elle pourrait avoir toutes les queues qu’elle voulait, et l’espace d’un instant, je l’imaginai prostrée, son cul et sa chatte pleines de queues, et je la voyais, scintillante de sueur et de plaisir. Elle était l’objet, la chienne, la salope, la gourmande, la truie, la traînée : tous les sobriquets du monde n’étaient que des tentatives vaines des hommes pour cacher leur honte à qui avait vraiment le pouvoir dans cette situation. Elle avait deux serviteurs qui prenaient leur pied à faire vibrer une femme qui les avaient choisis eux pour son plaisir. Plus tard, incapables de réconcilier leur égo avec l’idée qu’ils n’avaient pas vraiment eu leur mot à dire dans l’acte et qu’elle les avait utilisés, ils tenteraient de la salir en en parlant aux femmes autour d’eux. Bien sûr, ils diront qu’ils l’ont vue se taper deux gars ; ils n’avoueront jamais que c’étaient eux.

Je fus arraché de ma paranoïa par celle qui me choisit, moi. Nous nous retrouvions sur un terrain de rugby, et une brume épaisse s’était levée. Une lumière diffuse filtrait de la lune, et elle était belle. Saoule cependant, elle tituba alors que nous étions à mi-chemin de la traversée de la surface gazonnée, et tomba à genoux.
Je m’assis avec elle. Elle me regardait, l’œil mis-clos et le sourire lubrique. Elle approcha ses lèvres, et alors que j’approchait les miennes, elle baissa la tête et suça ma lèvre inférieure tendrement, de lèvres humides. Je me laissais faire. Elle lécha ma bouche entrouverte, et sa main, qui vint se poser son mon torse, ne mit pas longtemps à chercher ma ceinture. Plus habile que la normale, elle m’en défait rapidement, et ne tarda pas à trouver ma queue. Assis en tailleur, je me reposais sur mes coudes pour admirer ce qu’elle voulait me faire : elle se mit à genoux, et alors qu’elle parcourait mon sexe dru d’une main experte, se baissa jusqu’à avoir sa bouche au-dessus de mon gland. Elle était magnifiquement cambrée, sa jupe légère reposant sur ses fesses. Alors qu’elle prit mon gland dans sa bouche, je fus pris d’une incroyable envie de lui manquer de tendresse, de la bourrer avec fougue et énergie. Tout son poids était sur mes genoux croisés, et affalée qu’elle était, léchait et suçait amoureusement ma queue.

Je sentais sa salive dégouliner sur mes bourses. Elle se laissait aller, me regardant en me sachant impuissant, ne pouvant assouvir mon besoin de la pénétrer.

« Tu sais, » me dit-elle. « Je crois que j’ai oublié mes sous-vêtements à la fête… » dit-elle entre deux baisers mouillés. « Je me touche depuis tout à l’heure, et je ne semble pas les retrouver. »
Je me penchais, et je vis pourquoi elle était affalée sur mes jambes. Sa main disparaissait dans sa jupe, et j’en durcissait d’avantage. Elle gémit, et je répondis quelqu’absurdité sur l’excitation qu’elle provoquait chez moi. Elle me fit un clin d’œil, en bavant une dernière fois sur ma queue.
« Je m’occupe de ma chatte – viens t’occuper de mon cul. »
Je vous jure la proposition m’a presque fait jouir. La queue glissante et turgescente, je fis le tour de ma copine prostrée, et en dégageant sa jupe, je vis ses doigts comme disparus dans sa chatte luisante. Pressé, je frottais ma queue contre son trou du cul, essuyant toute cette salive pour faciliter la pénétration, en y ajoutant la mienne, en y mettant la langue. Quelle satisfaction ce fut quand mon chibre disparut en elle, quasiment sans effort. C’est une image que je garde encore aujourd’hui, et qui m’oblige souvent à trouver un coin discret pour me soulager.

Quelle sodomie ce fut, mon dieu.

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