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Je me remémore une collègue…

Je me remémore une collègue…



Les jours suivants, se tâcher de ne rien laisser paraître au bureau, mais j’avais de plus en plus envie de toi. Parfois seul dans ton bureau, je venais à tes côtés sous n’importe quels prétexte, et laissé courir mes mains sur tes cuisses, j’effleurés tes bras où jeté de façon intensive mon regard dans ton décolleté. Bien sûr tu me réprimandais mais je savais que c’était plus pour la forme car tu aimais ça. Bizarrement je ne te demandais même pas d’autre rendez-vous. Je savais que cela viendrais. Mais je ne me gênais pas pour te dire, combien j’avais envie de toi. D’à nouveau pouvoir caresser tes seins, d’y gouter encore. Tu m’avais dit aimé sucer, et je mourrais d’envie de sentir ta langue sur ma bite. Nos conversations, bien quelles ai souvent tourné autour du sexe, prenais des allures plus crus.

Ce jour-là c’était le traditionnel repas du boulot qui devait ce déroulé le soir même dans un restau. J’insisté pour que tu trouves une solution avec tes enfants pour que tu viennes. J’étais déçus de ton absence, car j’aurais aimé te voir dans une tenue plus chic, que j’imaginé plus sexy. Je te proposé même de faire du co-voiturage, que l’on pourrait même s’arrêter sur la route du restau. Mais malheureusement tu ne pouvais pas. A la débauche, je venais te dire aurevoire, et tu me demandas de m’approchais de toi pour me glisser au creux de l’oreille :
_ Prends une douche ce soir avant d’aller au restau.
Je reste un instant sans comprendre, bloqué sur place. En me relevant je fixe ton regard, dans lequel je lis l’envie que j’y avais déjà vu la dernière fois chez moi. Comprenant que tu passerais, je me suis dépêché de rentrer pour filer à la douche. Je prends d’ailleurs mon temps sous l’eau chaude, m’amusant avec la pomme de douche sur mon sexe déjà dressé. Au bout d’un quart-d’heure je finis par sortir, ayant peur de ne pas avoir entendu l’interphone et que tu attendes. J’enfile vite un peignoir et vais vérifier mon portable au cas où mais rien. Je décide donc de rester en peignoir en t’attendant, et vais me positionner sur le canapé. Je ne peux m’empêcher de me branler lentement en pensant à toi. Le temps me parait très long, et je commence à douter de ta venue, car l’heure de partir approche. Alors que je me lève pour aller m’habiller, mon interphone sonne pile au moment où je passe devant. Je décroche et te déverrouille la porte pour te laisser monter, encore une fois mon cœur bat fort dans ma poitrine. Encore une fois j’ai la curiosité de te voir arriver par les escaliers, alors que j’ai un ascenseur. Je te laisse entrer en me plaçant derrière la porte pour éviter de montrer que j’accueil du monde en peignoir on ne sait jamais.

Quand je referme la porte, la vue de ma tenue te fait sourire, et à peine la porte, je te saute dessus pour venir t’embrasser et laisser mes mains courir sur ton corps et atteindre tes fesses. Tu me rends mon baiser, et nos langues entament un ballet endiablé. Humm que c’est bon, ta manière de m’embrasser m’embrase. Tu t’écartes de moi, me prends la main et va me faire assoir sur mon canapé. J’aime que tu diriges, et prenne les choses en main. Et c’est le cas de le dire, car te voilà à genoux devant moi, tu caresses ma bite qui a pris de belle proportion, sur mon peignoir. Tu écartes mes jambes pour être plus prêts encore. Fébrilement tu dénoue ma ceinture et écarte les pans de mon peignoir pour découvrir mon sexe qui bande pour toi.
_ Waouh quel morceau !
Je suis ravi de constater que mes « mensuration » te conviennent. Je suis nerveux, j’en tremble presque lorsque je sens ta main venir pour la première fois serrer ma bite sans aucune entrave. Tu as la main fraiche mais cela ne me gêne pas. Doucement, comme pour apprécier ce moment tu fais coulisser ta main vers le bas. Tu prends le temps de me masturber un peu, tu apprivoise mon engin. Ton regard est vraiment gourmand, cela m’excite encore plus. Et lorsque je te vois descendre ton visage vers mon gland décalotté qui n’attend plus que te lèvres, mes mains serre les coussins de mon canapé. Ça y est tes lèvres se dépose sur mon gland pour un petit baiser. Tu recommences plusieurs fois, avant d’ouvrir ta bouche et c’est de ta langue que tu viens caresser mon gland. Ma bite palpite à ce contact, et c’est ton regard plonger dans le miens que tu fais descendre tes lèvres autour de mon sexe pour une première intromission.
_ Ho ouiiiiiiiii
Je ne peux retenir un gémissement en sentant la chaleur de ta bouche dans laquelle mon sexe dur comme jamais viens de rentrer. Tu fermes à présent les yeux pour faire des vas et viens sur mon sexe. La sensation est vraiment géniale. Je sens ta langue caresser mon gland lorsque tu remontes. Je suis dans un tel état d’excitation que j’en ai des frissons, la tête en arrière les yeux fermer je gémis sous la fellation que tu me fais. J’ai des fourmillements dans tout le corps tellement c’est bon. C’est finalement ta voix qui me fait sortir de ma transe
_ Alors c’est bon ?
_ Ho que oui ! C’est génial t’arrête pas
Cela te fait sourire et viens me reprendre en bouche de ce pas. Je te regarde faire, que tu es belle à me sucer, et les regards que je qualifierais de salope j’adore. J’aime quand tu m’aspires, quand tu me branles en ne gardant que mon gland en bouche, sur lequel ta langue vient tourner. Je m’en hardis en venant caresser tes épaules, puis ton dos. Je fais passer main entre toi et moi pour venir caresser tes seins en passant sous ton haut. Comme si tu lisais dans mes pensées, tu t’écartes et le retire avant de replongée sur ma bitte. La chaleur monte d’un cran encore. Te voir en lingerie me sucer m’excite encore plus. Mes mains prennent possession de tes seins, bien vite je passe sous ton soutif pour sentir la douceur et la chaleur de ta peau sous mes doigts. Je dégrafe ton soutif pour faciliter l’accès à ta poitrine et viens pincer tes tétons ce qui t’arraches un gémissement étouffé. Je suis de moins en moins doux, je me déchaine tellement c’est bon que tu me fais. Tu me dis être surprise de mon endurance, et redouble d’effort. Mais tu as l’air d’aimer ça que je tienne aussi longtemps.

Malheureusement, avec ton arrivée tardive l’heure nous ratt**** encore une fois. Je vais finir par être en retard, d’autant en plus que l’on vient me chercher et que je ne tiens pas à ce que les collègues te vois sortir de chez moi pour ta réputation. Et que toi ton mari va finir par se demander ce que tu fais. A regret, tu t’arrêtes et te relèves, je t’attire à moi et viens placer ma tête entre tes seins. Humm que c’est chaud et doux. Je viens lécher tes seins, les emprisonner dans mes mains. Tu es obligé de t’écarter pour que j’arrête. Tu mets de l’autre dans ta tenue et récupère ton haut, et voyant tes fesses tourner vers moi, toujours la bite à l’air je te saisis les hanches et viens la plaquer contre ton cul. Tu te redresses un peu, et je fais un simulacre de levrette n’étant pas en toi.
_ Aller mec sois sérieux. Je reviendrais promis.
Et tu viens m’embrasser pour sceller cette promesse. Je me dirige donc vers ma chambre pour m’habiller, sous ton regard plein d’envie.
_ Humm jolie p’tit cul dis donc…
Alors que je suis encore en boxer, tu décides de partir. Je me précipite vers toi pour te serrer une dernière fois dans mes bras, te faire sentir ma virilité que tu as tant flatté il y a quelques instant et finir par t’embrasser. Je te laisse partir, avec une pointe de frustration de n’avoir pas eu le temps de jouir sous tes caresses. Et c’est encore à demi bander que je descends pour rejoindre mes autres collègues qui arrivent juste et partir pour ce repas de fin d’année avec de bien belle image en tête…

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