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L’apothicaire

L’apothicaire



Parait qu’une nouvelle pharma c’est ouverte au bled.  L’autre est tenue par un vieux potard con, c’est une bonne raison pour aller jeter un œil.  Donc, à la première occase j’y go. Il y a déjà un peu de trèpe, comme quoi, le vieux, y a pas que mézigue qui le gobe mal. Sympa, ici c’est une gonzesse qui officie dans l’officine. Je disais qu’elle est nouvelle, elle fait du zèle, super gentille elle est ! C’est mon tour. Mignonne, Chiquos en plus. Blondinette, frisottée, bien fringuée, en civil, sans blouse. Je me délecte la pupille, elle me jacte un truc, lève la tronche, voit que je la déloque du regard, se fend la poire. Pris de court :
« euh…je vous trouve fort jolie, jeune dame » que je jacte.
 » je vous remercie, je disais qu’il manque un truc, vous devez revenir demain, je l’aurais dés 9 heures »
 » sauf si je meurs, faute de ce médoc »
 » ce serait dommage » dit elle, en rosissant léger. Sur ce je me casse, un peu perturbé du zigomard. Vous percutez? Dans le calçe !
Le lendemain je déboule à 19 heures, au moment pile où, clefs à la main, elle allait fermer. Me reconnaissant
 » vous estes à la bourre, entrez vite » et elle ferme ajoutant  » je n’ai pas envie que les gens prennent de mauvaises habitudes ». « Voyons pour vous…c’était…flûte je l’ai remis en rayon »
Et je la suis au fond. Pendant qu’elle cherche je la regarde de dos. Elle est en blouse, déboutonnée, jupe, chemisier, perchée sur un escabeau d’une seule marche. Trop beau ! Je me plaque derrière elle, l’enlace de mes deux bras. Je la dépose au sol, une main sur son sexe, l’autre sur un sein, un long baiser dans le cou. C’est gonflé et je constate qu’elle est toute molle, sans défenses. Je continue mon baiser, remonte la jupe et direct écarte l’élastique de sa culotte, déboule dans la toison, fouille rapide, ça y est, le bourgeon que je ponce délicatement. L’autre main malaxe les seins alternativement et je souffle, marmonne dans son cou. Dans un souffle
 » vous êtes rapide ».
Je la penche en avant, elle prend appui sur le tabouret de ses mains, m’aide à descendre sa culotte. Désormais j’ai le temps, je la pénètre délicatement, je vais et viens dans ce fourreau tiède, lubrifié. Elle émet de petits cris, et curieusement prend les choses en main, donne le rythme, pour mon plaisir. Mes yeux tombent sur le petit sphincter noir et j’y introduis un doigt que j’ai juste avant mouillé du jus vaginal issu de la baise en cours. Surprise elle cri brièvement, j’enfonce doigt et bite dans une même cadence. Elle brame, et alors j’appuie le doigt contre les va et viens de mon sexe. Orgasme immédiat ! Pris de court je dois jouer les prolongations pour évacuer 25 milliards de bestioles en tumulte dans le doux, l’hospitaliser réceptacle…

Finalement, la bourge chicos, ça déteste pas la bite de passage, c’est mieux qu’avec pépère, hein ? Ça s’appelle le coïtus impromptus, tu te souviendras? Si non tu dis le coup fortuit ! Même les gerces les plus coincées, les plus catho, les plus  » circulez, jeune homme », les plus  » mais j’ai un mari » , si tu sais y faire, ça marche. Attention, fais dans, le feutré, le délicat, fais ressortir la bête qui sommeille dans chacune d’elles. C’est un vrai boulot, mec. Aller, roule mon poulet, la vie ne fait que commencer…

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