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l’adultère d’une bourgeoise de 50

l’adultère d’une bourgeoise de 50



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Je suis jardinier dans une petite ville vosgienne très bourgeoise, le genre de ville où tous les habitants ont leur jardinier et leur femme de ménage … Mon métier consiste donc à entretenir les extérieurs de particuliers particulièrement fortunés. C’est comme ça que je me retrouve une fois par semaine chez un sympathique couple de cinquantenaires pour tondre, planter, ou débroussailler le jardin.
Cela fait maintenant un bout de temps que je travaille pour eux, je connais bien toute la petite famille. Le mari est un gentil gars, employé de bureau, qui ne surveille pas assez sa femme, Martine, une belle femme, commerçante, encore très séduisante pour son âge et que l’on dit facilement volage. Elle n’est pas très grande, 1m55, mais sa silhouette est parfaite : taille fine, poitrine généreuse, une chute de reins irréprochable… Ils ont une fille, une étudiante également très jolie, qui rentre chez ses parents de temps en temps les week-ends, accompagné par son compagnon, un jeune homme, étudiant lui aussi, qui s’est très vite trouvé à l’aise avec ses beaux-parents.
C’était un lundi matin. J’entrais chez eux sans sonner, j’ai les clefs, ils ne sont jamais là la journée. Je voulais descendre au sous-sol pour rassembler mes outils quand je décidais de faire un détour par la chambre de la maîtresse de maison. C’est mon pêché mignon, je jette un œil sur sa lingerie en l’imaginant dedans… une lingerie particulièrement coquine qui me pousse presque à chaque fois à me masturber avec. Encore cette fois-ci, j’entrais dans le dressing et sortais du tiroir un magnifique string tout en dentelle noire, quand tout à coup, la porte de la chambre, que j’avais soigneusement refermé, s’ouvrit. C’était Martine. Mais que faisait elle ici à cette heure ? Ne travaillait elle pas ? Je refermai précipitamment la porte du dressing laissant simplement un jour pour surveiller son départ et pouvoir m’échapper de cette souricière.
Mais Martine ne semblait pas pressée de partir, elle se remaquilla et coiffa sa chevelure rousse… Elle était vraiment belle dans son petit tailleur sombre. Le décolleté était profond, la jupe, assez courte, épousait les formes de son corps, et de hauts escarpins venaient finir élégamment ses jambes. Elle retira ensuite sa veste et la déposa sur un dossier de chaise. D’un geste rapide, elle déboutonna son chemisier, l’envoya aussi sec sur le lit, et me laissa tout le loisir de contempler une superbe paire de seins lourds. Elle se tenait debout devant la porte de ma cachette, les seins à l’air, à retirer ses bijoux. Mais que faisait-elle donc ? je n’avais qu’une peur : qu’elle veuille se changer et qu’elle entre dans le dressing. Doucement, elle fit glisser la jupe le long de ses jambes. Je fut surpris de voir qu’elle ne portait rien en-dessous et je commençait à croire à toute les histoires que l’on m’avait raconter sur cette femme. Effrayé par la précarité de ma situation, j’étais tout autant fasciné par la vision de ma patronne simplement vêtue de ses chaussures à talons.
Elle était à quelques centimètres de moi. Seule une porte entrebâillée nous séparait. Contrairement à ses cheveux, les poils de son sexe étaient foncés. Elle se retourna et me présentant sans le savoir une bonne paire de fesses devant les yeux. Elle s’éloigna et s’assit sur le rebord du lit. Ses jambes s’écartèrent et elle se mit à se caresser tranquillement. Cette vieille cochonne était décidément trop excitante, je m’apercevais que j’étais en train de me masturber également dans mon coin. Je commençais seulement à apprécier ma situation lorsque la porte de la chambre s’ouvrit une nouvelle fois.
Quelqu’un entra. C’était le petit ami de la fille de Martine. Il ne sembla aucunement surpris de trouver sa belle-mère dans cette tenue. Au contraire même, il sourit et s’avança devant elle. Elle lui rendit son sourire et, toujours assise, commença à ouvrir sa braguette. Elle en sortit un sexe déjà bien dur et le mit dans sa bouche. Je n’en revenais pas, c’était pour lui qu’elle se préparait ! Martine était maintenant en train de tailler une pipe à son gendre, trente ans plus jeune qu’elle. Lui ne bronchait pas. Il souriait toujours en la regardant le sucer avidement. Elle avait l’air d’aimer ça, elle avalait entièrement la queue jusqu’à sa base pour remonter progressivement vers le gland. Son expérience en la chose était flagrante et j’aurais fait n’importe quoi pour être à la place de ce mec. Il ne ressemblait pourtant à rien, brun, fluet, pas très beau. Comment une bourgeoise aussi désirable que cette garce pouvait elle être attirer par lui ? Il avait déjà la fille, ça ne lui suffisait pas ? Il devait baiser la mère maintenant ? Je ne comprenais pas et rageais de le voir lui caresser les seins à sa guise. Elle cessa la fellation et se laissa tomber en arrière sur le lit. Il prit l’imposante poitrine dans ses mains et en mordilla les tétons. Elle, apparemment très excitée, se remit à se caresser, mais elle n’eut pas le temps d’en profiter que déjà un sexe puissant enfonçait sa chatte humide.
Il la baisa comme une chienne, sans ménagement. Elle hurlait, suffoquait de plaisir, en redemandait encore, tandis que lui la pilonnait toujours comme s’il voulait la punir. Elle finit par le supplier d’arrêter. Il se retira, impassible, remonta le corps trempé de sueur de Martine, jusqu’au visage. Il effleura de sa bitte les lèvres de sa belle-mère, avant de lui envoyer de longs jets de sperme dans la bouche. Il termina de se vider sur le restant du visage. Elle avait la figure couverte de foutre ; elle éclata de rire et se remit à le sucer gentiment comme si elle voulait recommencer. Mais lui remonta son pantalon et quitta la pièce sans un regard pour Martine.
Quelle ingratitude ! Si j’avais la chance de faire l’amour avec une femme pareil, croyez moi que j’en prendrais soin. Elle resta un long moment nue, couchée sur le dos. Je l’observais passer ses doigts sur son visage pour ramasser le sperme, et se l’enfoncer ensuite profondément dans le vagin, réparant ainsi ce que le malotru lui avait refusé. Elle se lécha les lèvres comme si elle ne voulait pas en perdre une miette et se leva pour rejoindre la salle de bains.
Bien que tout endolori par une trop longue et inconfortable attente, je profitais enfin de cette occasion pour sortir de ma cachette. Je quittais la chambre en priant que le gendre ne soit pas de l’autre côté de la porte, et je descendais au sous-sol, tout perturbé par ce que je venais de voir.
Je la vis un quart d’heure plus tard sortir de la maison, toute soignée, avec le même tailleur. Elle repartait à pied travailler dans son magasin de vêtements. Je me demandais, en la regardant s’éloigner, si elle ne portait toujours pas de culotte sous sa jupe. Je l’imaginais, là, marcher nue dans la ville, taillant des pipes à tous les passants et se faisant prendre par tous les trous dans sa boutique… Puis je repris mon travail en essayant d’oublier cette vieille salope qui avait tant troublé mon esprit.

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