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Journal d’une tapette Ch.13

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L’art de la fessée.

Très chère Emma,

J’ai commencé à  » reprogrammer  » ta tapette de mari. C’est une chose que je connais bien et qui à la longue est très efficace.

La première technique est dite  » technique d’ouverture  » qui ne semble qu’une petite chose, mais dont la répétition plusieurs fois par jour fait son effet insensiblement au fil des jours. Voici en quoi cela consiste (je n’ai pas eu l’occasion de l’appliquer encore, car je préfère que cela soit toi qui l’initie, à cause de ses liens affectifs envers toi).

C’est facile, il s’agit d’une simulation, d’un rôle à jouer comme au cinéma.

1¡) A n’importe quel moment de la journée, et sans raison particulière, tu appelle ton mari, par un petit nom humiliant, par exemple « Minable, impuissant, viens ici ».

2¡) Il vient, en faisant une révérence (je viens de lui apprendre à faire la révérence).

3¡) Lorsqu’il se trouve devant toi, tu lui dit « à genoux ».

4¡) Il s’agenouille devant toi, et attends.

5¡) Au bout d’une minute ou deux, tu lui demande de retourner à ses occupations. C’est tout.

L’effet de cet exercice sera réel et bien plus profond que son aspect ludique ne pourrait le laisser supposer. Tu le découvrira par toi-même jour après jour.

La deuxième technique de manipulation mentale est consiste à occuper en permanence l’esprit du soumis en l’occupant à des taches subalternes, en le faisant se concentrer sur ses attitudes corporelles ou démarche, ou encore en lui faisant répéter toujours et toujours la même phrase. Le but est de l’abrutir et de l’empêcher de réfléchir à sa situation pour lui éviter de se rebeller.

La phrase doit être courte, dégradante et humiliante pour lui, et il doit la répéter en boucle à haute voix.

Enfin, tout manquement doit être puni. A ce sujet, je voudrais t’indiquer quelles sont les règles de l’art (hier, par précipitation, nous n’avons pas respecté le rituel).

La première phase consiste à le sermonner verbalement. Les remontrances doivent clairement faire comprendre qu’il faudra, sous peu, se plier à la punition. Cette phase préalable verbale doit être suffisamment humiliante pour amener le sujet à rougir et à baisser les yeux. Il faut, de plus, l’amener à intégrer totalement cette idée que la fessée est absolument nécessaire et méritée.

Quand il est mentalement acquis à cette idée, que tu lui as fait dire clairement qu’il reconnaît sa faute, admets qu’il doit se corriger, et qu’il mérite une bonne correction, alors, tu peux passer à la phase suivante.

L’attente étant une notion primordiale, il est important de ne pas exécuter immédiatement la punition, tout en ayant abondamment décrit ce qui allait arriver. Ainsi le sujet va être immergé pendant plusieurs heures dans ce trouble de l’attente. Tu peux par exemple lui dire vers 18 heures  » donc tu auras une bonne fessée ce soir à 21 heures, en attendant va dans la chambre et attends mes ordres « .

Quand approche l’heure convenue, il doit avoir complètement dévoilé ses fesses. Cette opération peut avoir lieu n’importe où dans la maison et doit se faire très lentement. Il doit se tenir debout les yeux baissés, pendant que tu lui relève sa jupe que le sujet devra tenir haut et baisses sa culotte jusqu’aux chevilles. Puis tu le fais aller dans la salle de bains. Il est toujours fort plaisant de voir le sujet se déplacer dans cet accoutrement.

Arrivé à la salle de bain, il doit ensuite se pencher en avant, les mains sur le mur. Il sera abondamment savonné à l’aide d’un gant de toilette, puis rincé d’abord à l’eau froide, puis à l’eau très chaude. N’épargne aucun recoin surtout l’entre fesse, et n’hésite pas à frotter énergiquement !

Quand ses jolies fesses sont bien propres et attendries à l’eau chaude, tu peux le sécher. Utilise de préférence une serviette bien rêche et frotte sans ménagement. Tu peux terminer l’opération par un passage au gant de crin. La peau est ainsi bien gommée et encore mieux préparée pour la claquée. Faits-le ensuite sortir de la salle de bain d’une bonne claque au centre de son derrière.

Tu vas enfin pouvoir passer aux choses sérieuses. Ordonne-lui d’aller chercher les instruments de la punition, puis bloque-lui les mains, afin qu’il ne soit pas tenté de venir se caresser les fesses.

Demandes-lui de compter lentement de un à cent en s’arrêtant à chaque dizaine pour recevoir un coup de cravache ou de Paddle. Il convient de prendre tout son temps et de bien espacer les coups. Donc ne pas frapper dés qu’il annonce le chiffre dix, mais laisser le sujet pendant plusieurs secondes dans l’expectative.

Lorsqu’il arrive à cent, le sujet a donc reçu 10 coups de cravache ou de Paddle.

Tu arrêtes pendant plusieurs minutes pour caresser doucement les fesses du puni. Tu peux en profiter pour humecter les fesses avec un gant de toilette trempé dans l’eau chaude. Cette pause permet à la peau de retrouver sa sensibilité du début. Ensuite tu recommences pour une nouvelle série de 10. Puis nouvelle pause. Tu peux d’ailleurs t’absenter, après avoir éteint la lumière, en le laissant seul dans le silence et l’obscurité. Puis reviens pour une nouvelle série de dix.

Au début il pense encore qu’il peut surmonter facilement cette fessée. Il ne ressent encore qu’un intense plaisir car ses fesses ne chauffent que doucement, le sang circule intensément, et l’échauffement se propage à ses parties génitales. N’hésite surtout pas à lui empaumer le sexe à travers sa cage de chasteté pour vérifier qu’il tente d’avoir une érection et que les pointes sont bien enfoncées dans sa chair. Normalement alors, il doit gémir, supplier et se contorsionner de douleur sous l’emprise de la cage. Ceci lui apprends, que même sous la fessée, il ne doit pas avoir d’érection (avec le traitement hormonal et quand il aura bien intégré la douleur que cela entraîne, il en aura de moins en moins).

Claque latéralement et goûte le plaisir de voir ces fesses rebondies s’aplatir, puis reprendre leurs formes. Regarde les rebonds de ces masses charnues qui dansent de joie sous les coups.

De belles couleurs rouges envahissent progressivement les joues et la base du derrière. A ce stade, son  » clitoris  » doit être redevenu complètement flaccide. Maintenant c’est la douleur des claques qui va prendre le dessus. Il commence à réagir et pousse de petits glapissements tout en commençant à se contorsionner. Il va pouvoir t’offrir une magnifique danse du croupion. Il est toujours agréable pour le fesseur de voir le puni gigoter et lancer les jambes dans tous les sens. Donc toujours immobiliser uniquement le buste du sujet de façon qu’il puisse gigoter et battre l’air avec ses jambes.

Entre chaque claque laisses le se contorsionner tout à son aise. Observe sa raie qui se resserre par à-coups. Il tend ses muscles fessiers et les relâche successivement.

Vas-y de bon coeur, claque cette raie avec détermination, elle va s’ouvrir sous peu et te dévoiler son petit trésors Le sujet gigote en effet tant qu’il peut pour soustraire son derrière à la punition. Ses jambes s’agitent et ses globes se tendent et se détendent au gré de tes claques, ouvrant le fessier sur la pastille de l’anus qui semble te faire un clin d’oeil.

Le postérieur est maintenant d’un beau rouge écarlate uniforme. Tu peux faire une pause. ƒcarte l’anus d’une main et introduisez un doigt dans cet humide fourreau. Il doit maintenant être tendre et accueillant. De l’autre main prend fermement en main les testicules

Après quelques minutes reprend la fessée. Il doit arriver au stade où il abandonne toute résistance. Il faut que son esprit accepte totalement la fessée, que son mental soit vaincu, soumis, qu’il s’abandonne entièrement. Ceci peut s’exprimer par un soudain éclat en sanglot ou des plaintes qui ne sont plus contenues.

Termine l’ouvrage par quelques claques manuelles.

Le lendemain tu lui demandes de noter la date et le motif de la punition sur son cahier de punition. Tu lui demande également de préciser s’il estime la punition nécessaire, méritée et suffisante.

En cas de faute grave, cette première séance de fessée peut être suivie d’une deuxième.

Avant la deuxième fessée, il faut lui assouplir les fesses avec une serviette éponge trempée dans l’eau chaude, puis essorée.

Pour cela il est allongé sur le ventre, les bras au dessus de la tête, un ou deux coussins sous le ventre. Tu trempe une serviette éponge dans de l’eau très chaude, tu l’essore et dispose la serviette sur les fesses du puni. Au bout de quelques minutes tu la remplaces par une deuxième serviette également trempée dans l’eau chaude puis essorée. Tu continues pendant 15 minutes, en alternant les serviettes et en veillant à ce que l’eau soit toujours très chaude.

Cela fait maintenant une heure que la première fessée est terminée (40 minutes au coin plus 15 minutes pour les serviettes). Les fesses sont maintenant souples et tendres. Il est temps de les faire danser avec le Paddle. Surtout prend tout ton temps et espaces bien les coups.

Au bout de 30 à 40 minutes reviens vers lui est interroge le longuement sur ce qu’il a ressenti pendant cette punition. Quelles ont été ses impressions. Tout en le questionnant caresse le doucement avec tes mains. Quel était le motif de cette punition ? A-t-elle été efficace ? As-t-il pris de bonnes résolutions, afin de mieux te satisfaire à l’avenir et d’éviter une nouvelle punition. Demande lui de fournir le maximum de détails sur les différentes étapes de cette fessée.
A suivre…

A propos de l'auteur

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