LU SUR LE NET
Je m’appelle Guilaine; j’ai 46 ans. Je suis mariée à Philippe depuis plus de 20 ans, et à ses dires, une belle plante . C’est vrai que je suis plantureuse- 1M70, 64 Kg – 95B -ferme- de tour de poitrine avec de beaux mollets ronds et de belle épaules musclées, châtain, pas très belle de visage sauf de beaux yeux bleus, mais pas trop mal foutue de corps. Je suis aussi grande et forte que lui et même plus quand je met s des talons. Il est affectueux peu viril aime être protégé, chouchouté, se complait à avoir une femme forte qui le domine un peu. Je le fait bander comme au début et trop bien même car il est si si amoureux et tellement émotif que des coups de bassin trop prononcés ou le début de mon plaisir déclenche le sien immanquablement malgré tous ses efforts. Aussi, à l’exception de sa bouche, quand j’ y consent, (je préfère être pénétrée, et n’aime pas quand je suis sale), son assez petit sexe de 12x4cm, trop rapide, ne m’a jamais bien fait grimper aux rideaux. Moi j’adore pourtant tellement quand nous faisons l’amour sur le coté, qu’il est légèrement plus bas que moi pour caresser mon point G, -ce qui me fait partir très vite-et qu’il a le nez dans mes belles épaules, que mes bras et jambes musclés sont noués autour de lui et les siens autour de moi, et qu’il relève la tête pour m’embrasser, ou encore quand je suis sur lui et le domine langoureusement. Comme il est avide d’affection il adore aussi faire comme cela. Il avait depuis longtemps le fantasme de me partager avec un bel homme bien monté qui ait le dessus et me fasse bien jouir « comme je le mérite en me pénétrant longuement devant lui ». Mais, je ne voulais pas faire l’amour sans être amoureuse, et toujours refusé de céder, ou d’être donnée en pâture à des profiteurs ou moqueurs.
A l’occasion de vacances à la mer au Gruau du Roi, il avait réussi, non sans mal en me tenant, à me décider à aller un jour à la plage sauvage de l’Espiguette et notamment sur la partie naturiste. J’ai accepté à condition d’être vers la limite et de garder mon slip, que j’ai fini par quitter à notre seconde visite dans un mélange de jalousie et d’envie d’essayer, voyant des femmes plus mal que moi à l’aise. Il nous avais installés à coté d’une belle femme de 40 ans bien roulée sûrement pour la mater discrètement, le cochon. Mais, non seulement il n’a pas dragué cette belle créature, mais c’est son ami qui a carrément réussi à me baiser à ma grande stupéfaction –
Quand nous nous sommes installés sur la plage , il était dans l’eau. Quand il est revenu, je n’ai pas fait attention, mais j’ai assez vite remarqué son allure sportive, son charme et le gros engin qu’il avait entre les cuisses. Ce qui n’a pas échappé à Philippe, qui comme moi, louchait dessus à de multiples reprises. Il a du s’en apercevoir et a engagé la conversation. Ce couple était sympathique et nous avons bien fait connaissance et lié amitié. Je ne pouvais m’empêcher de mater la grosse queue de notre homme, les fantasmes de mon mari et des idées chaudes me traversant l’esprit. L’homme voyait mon trouble et s’est carrément mis à bander- Elle était impressionnante, longue et épaisse avec un gland énorme lisse et brillant, gonflé comme un fruit mur. J’en avais une envie folle en moi. J’aurais aimé que par magie Philippe en soit pourvu sur l’heure et me prenne sur le champ; j’étais fébrile et gênée. Notre homme qui se prénommait Alain, était plus à l’aise et n’arrêtait pas de me plaisanter à tout propos. Il me plaisait de plus en plus, j’étais sous le charme. Mon clitoris bougeait et ma vulve dégoulinait d’envie. Sa femme très à l’aise, sûre de sa beauté et épanouie ne bronchait pas et affichait un sourire coquin et complice. Voyant la tournure des choses, et non sans arrière pensée j’imagine, Philippe est allé à l’eau, observant de loin. Alain m’a clairement fait comprendre du regard et par gestes du regard de le rejoindre et est parti peu après en promenade dans les dunes. Son épouse avait l’air de me dire « Et bien qu’attends tu?, l’air plus complice que jamais. Je lui ai dit « Alain a l’air d’être un sacré numéro ». Elle a répondu « Il est génial, et surtout au lit. Je suis comblée, mais il a tellement de besoins que je profite de son statut de VRP pour le partager avec des amies consentantes qui en profitent aussi » sans que j’aie à assumer toutes ses ardeurs. Et nous avons ri de bon cœur. Quand Philippe est revenu, je lui ai dit avoir envie d’uriner et vouloir me dégourdir les jambes et me suis dirigée aussi vers les dunes en lui demandant de garder les sacs. je ne savais où aller, mais Alain était caché et m’attendait. Il m’a dit– » Elle te plait ma queue hein? Elle n’est pas plus belle que celle de ton époux? Regarde dans quel état tu la mets ». Il m’a saisie par les poignets et attirée vers lui. Il m’a roulé des pelles que je lui ai rendu avec fougue tant j’étais excitée. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Il y avait des voyeurs qui s’étaient approchés. J’ai eu peur et voulu repartir. Mais me tenant fermement il m’a dit- « allons nous cacher dans un bosquet. » Et nous sommes partis bras dessus-bras dessous comme des promeneurs. Hors de vue, il m’a tirée brusquement dans un fourré et m’a allongée. Alain m’embrassait me caressait habilement, j’étais en transe sa queue à la main, qui m’excitait au plus haut point. Je la voulais en moi, prête à tromper mon mari sans remord. Alain s’est mis en 69 pour me lécher le sexe. Il était très doué, j’ai joui.
Il a continué encore pendant que je lui branlais sa grosse queue. Puis n’y tenant plus je me suis entendue le supplier « Vite! prend moi! Vite!), et il s’est mis sur moi en me relevant les jambes par les mollets et son énorme gland s’est appuyé contre ma vulve. Le contraste était impressionnant.- son gland était deux fois plus gros que celui de Philippe.
Il a poussé et ma chatte l’a accueillie tandis que je poussais moi aussi mon bassin vers lui, avec un cri de plaisir, tant cette pénétration était suave, tant je le sentais bien. Je devais tellement en avoir envie, que l’énorme engin est rentré comme dans du beurre jusqu’au fond de mon corps. Habituellement discrète, c’était si jouissif, si intense que je ne parvenais plus à retenir des gémissement et criait mon plaisir à chaque coup contre ma matrice, une sensation que je n’avais jamais connu avec Philippe. J’ai « éjaculé » et hurlé plusieurs fois mon orgasme en m’arc-boutant et de plus en plus violemment comme si tout mon corps s’éclatait. Je n’en voyais que trente six chandelles. Je ne savais plus ou j’étais. Lui ne débandait pas et m’a prise dans toutes les positions pendant au moins trois quarts d’heures. Quand il a eu éjaculé, nous nous sommes allongés cote à cote et après quelques instants de repos j’ai fait avec envie ce que je n’aime pas beaucoup avec Philippe, je l’ai sucé goulûment, me délectant avec amour de ce gros gland entre mes lèvres, et l’ai supplié de me l’enfoncer encore et de me faire jouir aussi bon à nouveau. Retourné à la plage, la compagne de notre homme a dit- à Philippe « Je crois qu’Alain aura baisé ta femme. Il me comble et est très doué au lit, mais il a si souvent envie, que je le partage bien volontiers avec des amies consentantes qui se régalent par la même occasion. Ca doit être un sacré coup ta femme, où elle est en manque parce que ça dure! » Et elle s’est mise à lui raconter toutes leurs prouesses au lit, tout ce qu’il lui faisait. Philippe bandait à nouveau dur comme du bois, et est allé nous mater dans les dunes.
Véronique lui a dit « Je vois que ça te fait de l’effet! Remarque la taille du sexe c’est simplement excitant, tu as tout ce qu’il faut pour en faire autant. Guilaine t’apprendra à son tour à baiser comme Alain lui aura fait. » Philippe lui a avoué qu’il rêvait de me voir me faire prendre par un autre depuis longtemps, voire d’un trio et que je ne voulais pas.
Il paraît qu’à mon retour, j’avais le regard d’une shootée (tant j’avais eu des orgasmes et si forts) et l’air gênée. Philippe n’a rien dit. Véronique l’a regardé d’un air complice et gardé le silence aussi. Pendant deux jours je n’avais plus envie de faire l’amour avec mon mari malgré son excitation, invoquant la chaleur, la fatigue, etc…Le 3ème jour c’est moi qui l’ai réveillé de bonne heure en le masturbant et l’amour quoique guère moins rapide que d’habitude a été particulièrement savoureux. Je l’ai sucé un peu et me suis fait prendre deux fois ce qui n’était pas arrivé depuis dix ans. Le soir je lui ai dit que Véronique était seule et voulait que je passe une partie de la nuit avec elle pour la rassurer et papoter entre amies. Il a accepté pas dupe j’imagine. Il m’a avoué bien plus tard m’avoir suivie discrètement et avoir pu constater qu’Alain était bien là. D’ailleurs il n’a pas eu à attendre des heures pour entendre par la fenêtre ouverte mes gémissements et ma voix qui disait arrête arrête! Et criait mon plaisir de plus en plus fort, puis peu après les gémissements de plaisirs de Véronique. En fait notre homme s’était offert une nuit d’amour avec sa propre femme consentante et moi même. Je suis rentrée à quatre pattes au petit matin. Il a feint de n’avoir pas entendu et ne m’a posé de questions, ce qui était louche.
Depuis ces vacances et cette nuit de plaisir, je soigne mieux mon apparence, me maquille plus souvent, m’habille plus sexy, et ai pris plusieurs fois des amants, meilleurs que Philippe, mais ni aussi bien montés ni aussi doués pour l’amour qu’Alain. Néanmoins j’ai pu prendre mon pieds à fond. Il devait s’en douter quand mes horaires devenaient irréguliers et que j’avais moins envie de faire l’amour avec lui. Je n’y peux rien je m’attache avant et plus encore au cours de la relation. Le seul point positif de cette double vie c’est que je suis redevenue charmante et épanouie comme à 20 ans et bien plus encore…grâce à Alain qui m’a révélé à 45 ans ma sexualité et ma capacité à jouir.
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