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une histoire folle chap 3

une histoire folle chap 3



Le lendemain matin, je me réveillais dans le lit de mon père. Les évènements de la nuit me revinrent alors comme un boomerang. Bordel, comment mon père va me voir ? Est ce qu’il va regretter ? Va t il me chasser ? Tant de questions se bousculaient dans ma tête quand, tout doucement, la porte de la chambre s’ouvrit. Mon père apparut nu, avec un plateau garni de deux bols de café, pain, beurre, confiture…

-Bonjour ma puce, dit il en posant le plateau par terre, au pied du lit.

Il vint m’embrasser tendrement, baiser que je lui rendis. Mes craintes étaient alors dissipées.

-Bonjour papa, bien dormi ? Demandais je.
-Je n’ai pas aussi bien dormi depuis une éternité, ma puce, me dit il en reprenant le plateau pour le poser sur mes genoux. Et toi ?
-Hmmmm, fis je en m’étirant le sourire jusqu’aux oreilles. Merveilleusement bien.
-Tu as faim, j’imagine ?
-Oh oui, tu n’as pas idée !
-Tu me fais une petite place ? Dit il en faisant le tour du lit.
-Naturellement !

Mon père s’installa a coté de moi, il rabattit les couvertures, et nous commencions le petit dej. Un début de silence s’installa lorsque mon père le brisa.

-Tu sais ma puce, pour cette nuit…
-Tu regrettes ? Demandais je entre 2 bouchées de tartine.
-Nullement ! Je me rends compte que ça n’a pas du être facile pour toi de me dire ce que tu avais sur le coeur, et je te félicite pour ton courage.

Mes tartines dévorées, j’avalai un peu de café pour reposer le bol sur le plateau.

-Disons que j’étais morte de trouille ! Je pense que tu peux le comprendre aisément. Dis je en le regardant. D’ailleurs, je dois appeler Vaness pour la rassurer, je lui ai dit qu’hier j’étais pas bien.
-Que vas tu lui dire ? Demanda t il.
-Que j’avais mangé un truc qui n’est pas passé et que la nuit a été épouvantable, sans rentrer dans les détails.
-Pas mal. Au fait, ton café est bien dosé ?
-Oui, parfait, papa, merci. Tu doses bien le café, tu fais l’amour divinement… J’ai beaucoup de chance !
-Toi aussi tu es géniale, dit il en riant de mon compliment.
Il prit une ou deux gorgées de café, posa le plateau par terre, et nous nous enlaçons tendrement. Je posai la tête sur son torse.

-Papa…
-Oui ma chérie ?
Je t’aime ! Dis je en l’embrassant tendrement.
-Moi aussi. Dit il en me rendant mon baiser.

Je finis par me lever du lit après ce baiser divin pour aller dans ma chambre. Mon père prit le plateau et alla faire la vaisselle. De mon coté, j’appelais Vanessa. la pauvre devait être morte d’inquiétude… Ca sonna mais elle finit par décrocher. Après une longue conversation ou je lui expliquais officieusement ma nuit, nous décidons de passer la journée ensemble.
Ca tombe bien, mon père passe la journée avec des amis qu’il n’a pas vu depuis longtemps et comme ça se fait a chaque fois, ca dure jusqu’à pas d’heure.
Après une douche et m’être habillée, je suis fin prête a sortir. Mon père et moi nous nous embrassons pour se souhaiter une bonne journée et je fonce a pied chez Vanessa. A mon arrivée, elle se précipite vers moi et elle m’enlaça de toutes ses forces comme si on ne s’était pas vues depuis une éternité.
La journée se passe naturellement, et par téléphone, mon père invita Vanessa a diner ce soir a la maison, ce qu’elle a accepté avec plaisir.
En présence de Vanessa, la relation normale père/fille était de rigueur, ca allait de soi, mais j’avais une épouvantable envie de faire une pipe a mon père, sentir le gout de son sperme dans ma bouche, couler dans ma gorge, miam. La soirée se déroula dans la bonne humeur, lorsqu’hélas, l’heure du départ sonna pour Vanessa.

-Merci pour cette superbe soirée, ma chérie, me dit elle en se levant. Et merci a vous, Monsieur pour l’invitation.
-Attends, tu ne vas pas partir, dit mon père. Pourquoi tu ne dors pas ici ? Tu pourras prendre la chambre d’amis, et en plus, tu pourras prendre la route avec Lily.

Je hais ce prénom que ma mère a choisi, surtout depuis son départ de la maison, et je préfère que mes amis ou ma famille m’appellent « Carole », mon second prénom.

-Tu sais ou elle est, il me semble, non ? Dis je a Vanessa un grand sourire aux lèvres.

Vanessa gloussa discrètement.

-Vous êtes gentils, mais je n’ai pas envie de vous déranger, et puis je n’ai pas d’affaires de rechange, ni mon sac pour demain.
-Eh bien, va chercher tout ca chez toi, dit mon père avec enthousiasme, ca nous ferait plaisir que tu restes, n’est ce pas, ma puce ? Dit il en me regardant.
-Évidement, et tu es ici chez toi, tu le sais. Accepte, ma chérie, suppliai je.
-Bon, d’accord, mais je vais devoir faire vite, il commence a se faire tard.
-Ma chérie, me dit mon père, va avec elle, moi, pendant ce temps, je vais débarrasser, faire la vaisselle et aller me coucher, j’ai une grosse journée de boulot demain.
-Allons-y ! Dis je, en regardant Vanessa, qui semblait heureuse de passer la nuit ici.

Le trajet effectué, et le temps que Vanessa explique a ses parents qu’elle dormira avec moi ce soir, nous rentrons rapidement a la maison. Je fermais la maison, et nous allons tous nous coucher. J’enfilais une nuisette, une culotte, et au dodo !
Dans la nuit, je me réveille avec une soif de chameau.N’ayant pas de bouteille d’eau sur ma table de chevet, je sors de ma chambre pour prendre un verre d’eau a la cuisine. Tout a coup, j’ai eu l’impression d’entendre un gémissement féminin venant du couloir. Je tendis l’oreille et su que ca provenait d’une des chambres. Après tout, Vanessa avait le droit de se faire un petit plaisir, quel mal y a t il a cela ? Seulement, je me rendis compte en passant devant la chambre de mon père que les gémissements provenaient d’ici !
Mon ventre se tordit, et curieuse, j’abaissai très lentement la poignée de porte afin d’ouvrir et voir ce que je n’aurais jamais pu imaginer : Vanessa était allongée sur mon père. J’eus un mouvement de recul et je dus plaquer ma main sur ma bouche pour ne pas crier.
N’importe qui aurait tourné les talons ou même fermé la porte pour retourner se coucher, mais non, je restais a les observer. Vanessa avait une chute de reins de toute beauté. Ses seins plus volumineux que les miens tenaient parfaitement en place, ils avaient l’air fermes. Elle prenait vraiment son pied, ca se voyait,. Et je crus apercevoir, malgré la pénombre, que mon père lui mettait un doigt dans le cul pendant qu’elle le chevauchait. Elle était belle, elle m’excitait, la salope ! Ils m’excitaient tous les deux. Il était clair qu’elle avait toutes les peines du monde a retenir ses cris pour ne pas me réveiller, et ainsi les surprendre. Cette vision m’excita. Sans que je ne m’en rende compte, ma main était déjà dans ma culotte, j’étais complètement trempée, je me masturbais comme une folle et je me mordis la lèvre inférieure et retenir au mieux mes gémissements afin de ne pas me faire remarquer.
J’imaginais le sexe de mon père en moi, me baisant sans vergogne, comme le vivait une Vanessa qui prenait un pied d’enfer a a peine 2 ou 3 mètres de moi. Mon père retira son doigt et ils changèrent de position, Vanessa se mit a 4 pattes et mon père passa derriere elle. je le voyais prendre son membre, le placer a l’entrée de la chatte ruisselante, et s’y enfoncer comme dans su beurre. Il prenait Vanessa de toutes ses forces, il était sauvage, brutal. Il fit ressortir sa queue qu’il remit avec puissance en sa partenaire, il la dominait, lui claqua les fesses non seulement avec ses reins, mais aussi avec ses mains ! Elle tourna la tête en direction de mon père afin qu’ils s’échangent un baiser et c’est a cet instant qu’elle me vit en train de les mater. Je ne pouvais détacher mes yeux d’eux et Vanessa passa sa langue sur ses lèvres d’une manière obscène en gémissant et en fermant les yeux pour me faire comprendre le pied qu’elle prenait, chose que je n’eus pas de mal a imaginer.

-Je crois qu’on a une spectatrice, lâcha Vanessa a mon père.

Mon père arrêta de baiser, tourna la tête et me vit.

-Viens donc te joindre a nous, ma puce, au lieu de te rincer l’oeil. Me dit il d’un ton naturel.

Pour l’accompagner, Vanessa me fit signe de venir avec son index en me regardant. La bouche sèche, complétement excitée, avalant péniblement ma salive après cette invitation j’entrai alors dans la chambre comme un robot, obéissant a mes plus bas instincts…
Je pris mon père dans mes bras pour l’embrasser fougueusement. Nos langues se trouvèrent immédiatement. Vanessa se retira de la queue de mon père, s’approcha de moi et me déshabilla.

-On va pouvoir s’éclater sans retenue, me dit elle avec un sourire qui lui est propre.
-Vaness, j’ai toujours rêvé de voir 2 jolies femmes s’aimer, lui dit il après m’avoir embrassée.
-J’ai compris le message, mon coeur, dit elle a mon père.

Mon coeur ? Je n’avais même pas envie de réponse, le moment n’était pas a la réflexion, parce que Vanessa me prit délicatement les mains, m’attira vers le lit, et nous nous y agenouillons. Elle prit ma tête entre ses mains, ses lèvres s’approchèrent des miennes, et je goute a mon premier baiser lesbien. Sa bouche est douce comme la soie, son baiser est d’une tendresse infinie. Nous bouches s’ouvrirent, sa langue alla a la rencontre de la mienne, sous l’oeil de mon père qui a allumé la lumière et qui s’est assis sur une chaise pour nous regarder. A la fin de notre baiser, je ne peux m’empêcher de garder les yeux fermés, transportée par la volupté.

-Je t’aime depuis notre plus tendre enfance, ma chérie, me murmura t elle.
-Je t’aime aussi, ma chérie, murmurais je, ouvrant doucement les yeux.

Nous nous embrassons de nouveau, et je sens la main de Vanessa caresser ma petite chatte trempée. j’écarte alors les cuisses, l’invitant a continuer ses caresses. Elle trouve rapidement mon clito qu’elle frotta avec une grande douceur, comme si elle voulait me faire durer toute la nuit. Ses doigts étaient agiles et je la serra fort dans mes bras, éprouvant un intense bonheur, je ferme les yeux, l’embrasse dans le cou, respirant de plus en plus vite, gémissant de plus en plus fort, ma tête se vida complètement. Je ne comprends plus rien de ce qui arrive, je suis transportée dans un océan de bonheur. Vanessa me caressa les fesses tout en me masturbant, et n’y tenant plus, je me lâchais complètement et rapidement sous ses doigts dans un râle puissant.

Une suite ?

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