Bonsoir, toi…
Tu as eu une dure journée, aujourd’hui ? Je vois cela à ton air maussade… Ton patron, ta femme, les embouteillages, tout t’emmerde, n’est-ce pas ?… Il faut que tu te défoules, mon chéri… Détends-toi, maintenant… Laisse-moi faire… Regarde, je masse déjà ton gros paquet à travers ton pantalon… Je sens que cela ne te laisse pas indifférent… Ta queue grossit sous mes caresses… J’adore malaxer tes belles couilles… Ta bite est toute dure, mon salaud… Viens, je te tiens par les couilles et je t’emmène dans le salon… Installe-toi sur ce fauteuil… Mais avant, baisse ton pantalon… Voilà… Non ! Ne retire pas ton caleçon ! Je veux encore te chauffer à fond… Écarte juste un peu plus tes jambes que je puisse me faire une place… Je m’agenouille et je pose mes coudes sur tes cuisses… Je peux malaxer à loisir tes burnes et ton braque qui tendent l’étoffe de ton boxer… C’est pour moi, tout ça ?… Tu fais oui de la tête… T’es pas un bavard, hein ?… Pourtant, tu vas me traiter de « sale pute » dans un instant… Tu te demandes encore comment t’en es arrivé à vouloir te taper par un trav amateur comme moi ?… Après tout, je ne suis qu’un quadra grossièrement habillé en pute… Mais je suis surtout une grosse salope… Contrairement à ta blasée de femme, je désire ta queue plus que tout… Je sais le privilège immense que j’ai d’avoir le droit de sucer ce zob, de lécher goulûment ces couilles velues… Je vais m’appliquer à pomper ta bite… Car j’aime ça ! C’est tout… Il faut que je déballe ton engin qui étouffe dans ce caleçon… Ma main s’engouffre sous l’élastique et mes doigts saisissent ta queue… Elle repose dans ma main… Elle est chaude… Elle est dure… Dire que c’est moi qui provoque ça ! C’est trop de joie… Maintenant, je te branle doucement… Je dois m’y prendre à deux mains pour manipuler ton gourdin… Comment vais-je arriver à rentrer entièrement ce truc dans ma bouche fardée ?… J’y arriverai de toute manière… Je veux sentir ton gland buter sur ma luette… Quoi ? Je parle trop, c’est ça ? C’est fait exprès, mon chéri… J’ai pas envie que tu décharges au bout de vingt secondes… Je te connais, tu vas te barrer aussi sec et moi, je serai désespéré, à genoux sur la moquette… Oui, je vais te sucer mais à mon rythme… Contente-toi de m’insulter comme la dernière des putains, mon étalon… Je vais te donner envie de revenir me voir… Tu aimes ma langue qui titille ton gros gland cuivré ? Je te vois étonné… Tu trouves que je m’y prends très bien pour un débutant… je te l’ai dit, mon chou, j’ai une passion énorme pour ta bite… Je suis fier de pouvoir sentir son odeur… De passer ma langue tout au long de ce tronc veiné… De saliver sur tes couilles poilues… Tu aimerais que je te lèche aussi le trou du cul ?… Essayons, tu me diras ce que t’en penses… La sensation est agréable, non ?… Le bout de ma langue chatouille ton trou de balle… Tu vois, je n’ai aucun tabou… Tu penses que je suis vraiment une belle lope, n’est-ce pas ?… C’est ça qui m’excite… Et ça t’excite aussi, mon cochon… De savoir que tu peux disposer d’un vicelard féminisé, novice certes, mais prometteur… Oui, tire-moi les cheveux, salaud et force-moi à pomper ta bite, ça me fera fermer ma grande gueule ! Oui, je vais te sucer maintenant… Merci, Maître…
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