On arrive près du bateau. Un homme d’âge mûr, avec un gros ventre et une bite mollassonne, nous regarde arriver en souriant. Ce n’est pas vraiment mon genre de beauté. Mais bon, après tout, il sera derrière son appareil. On monte à bord et il m’embrasse… sur la bouche. Il embrasse aussi Julien… L’est plutôt familier, le gros. Il nous demande :
— Vous êtes Samia et Julien ?
— Oui, c’est ça…
— Moi, c’est Gilou. Vous allez d’abord faire des photos avec un de mes amis un photographe américain connu, puis avec moi.
— Madame Simone m’a dit que ce ne serait qu’une séance de photos.
— Ce sera deux séances, comprenant des photos érotiques. Elle m’a dit que vous faisiez ça.
— C’est que…
— J’ai déjà payé Simone, mais voici pour vous décider.
Il sort une liasse de billets de sa poche et me tend deux billets de 1000 francs (plus de 300 euros). D’accord ?
Je lui fais un grand sourire en répondant :
— Qui doit-on tuer pour ce prix ?
Il rit… puis me dit :
— Venez, je vais vous présenter le photographe.
On va vers la poupe. Il y a une table, des sièges et des chaises longues. Un homme est assis dans un fauteuil, il a une jolie femme sur les genoux. Elle est uniquement vêtue de lunettes de soleil et d’un grand chapeau, elle n’a pas l’air emballée de nous voir. Gilou nous dit :
— Je vous présente Moira, ma femme, et Dennis X, mon ami, qui est un grand professionnel.
Elle n’est pas sympa, mais je la trouve très séduisante. C’est une rousse auburn, avec des poils qui forment une flamme sur son pubis et même des petites flammes en dessous des bras. Elle me demande :
— C’est vous qui êtes des Roms ?
— Euh… oui…
— On ne vole rien ici, hein ?
Norman dit précipitamment.
— Ma femme plaisante.
Non mais, elle est malade ! Elle me regarde, intéressée par la façon dont je vais réagir. Nous pourrions sauter à l’eau et regagner la plage, mais on est franchement loin. Et puis, il y a ma ceinture porte-monnaie qui ne peuy pas aller dans l’eau et puis, j’ai envie de faire du ski nautique… Donc on reste, mais je lui réponds quand même :
— On ne va rien voler. Il ne faut pas croire tout ce qu’on dit, les Roms ne sont pas tous des voleurs, loin de là, et toutes les rousses ne sentent pas la ménagerie.
Il y a un flottement, puis elle éclate de rire. Après s’être calmée, elle dit :
— Tu as du répondant, j’adore !
Bon, ça, c’est fait. Mais qu’est-ce que Madame Simone a besoin de dire partout que je suis une Rom ! Ce n’est pas que j’aie honte…
Norman s’adresse au photographe :
— Tu veux commencer, Dennis ?
— Oui, merci, cher ami.
Dennis est grand et il a un fort accent. Il nous dit :
— Venez avec moi dans la cabine, on va choisir des accessoires.
On prend l’escalier jusqu’à une grande cabine. Il nous détaille en disant :
— Vous êtes beaux et vous avez de très jolis kious (en fait, il veut dire « culs »). Il me regarde et ajoute :
— Et toi, tu as une jolie poitrine, mais un peu trop pour ce projet, je te prendrai de derrière.
Je pense « pour deux mille francs, tu peux me prendre par où tu veux ! » Il me demande de mettre un grand chapeau de paille avec des fleurs, qui ressemble à celui de la rousse. Il donne à Julien une casquette blanche à galons, un rien nous habille. Il y a un grand miroir et je me trouve franchement mignonne avec mon grand chapeau. Julien n’est pas mon mal non plus en mini-capitaine. On remonte sur le pont et il nous photographie à différents endroits du bateau.
On commence par faire des photos sur lesquelles on se tient par la main, puis Julien de face contre le bastingage et moi regardant la mer. Je suppose qu’il veut avoir mon kiou et le tout petit robinet de Julien… Je ne vais pas tout décrire. Je sens néanmoins qu’on va basculer dans des photos un peu moins convenables quand il me dit :
— Embrasse le sexe de ton frère.
Rien qu’à entendre ça, Julien se met à bander comme un… mais, non, pas comme un âne. J’enlève mon chapeau pour me mettre à genoux devant lui et délicatement, je tire sur la peau pour dégager le gland. Dennis s’écrie :
— Merveilleux, il brille au soleil !
Ben oui, il est excité et mouillé, mais de là à trouver ça merveilleux ! Dennis fait plusieurs photos. Je tire bien la langue et lèche le gland en l’enduisant de salive. Il brille encore plus. Notre photographe pousse des cris d’extase ! Il a la trique. Oui, lui aussi… Sauf que la sienne, c’est pas un zizi de mulot, mais une bite d’âne ! Il me propose un marché :
— Si vous me léchez tous les deux, je te ferai cadeau du lot de photos et j’en signerai même une.
Oh ! Les photos, ça me fait plaisir, mais pourquoi une signée ? Croyant que j’hésite encore, il ajoute :
— Je vous en signerai deux.
— D’accord.
Si ça lui fait plaisir… Il me dit :
— Je les développerai demain, j’ai hâte de voir ça. Donne-moi ton adresse et je te les enverrai.
Je lui donne mon nom et l’adresse du camping. On monte sur le pont et il choisit un endroit ensoleillé. Monsieur veut sans doute briller du gland, lui aussi. Quand il est assis, je vais me mettre à genoux à côté de lui en disant à Julien :
— Viens te mettre en face de moi.
Il m’obéit, bien sûr. Je vous ai déjà dit que c’était mon boy ? On se retrouve l’un en face de l’autre, de chaque côté d’une bite de belle taille, heureusement. Je veux dire, heureusement pour les photos… Dennis me dit :
— Dégage mon gland et léchez-moi à deux, en tirant bien la langue… et en me regardant.
Je tire sur la peau, je vous évite les détails. Julien fait un peu la moue. Quoi ? Elle n’est pas assez propre pour ce petit singe ? Je lui dis sèchement :
— Lèche !
Il tire bien la langue et lèche le gland. Putain, ça m’excite de le voir ! Quand il a bien léché, je tire la langue et lèche aussi. Au-dessus de nous, ça fait « clic clic clic ». Dennis nous dit :
— Regardez-moi
On lève les yeux. On doit avoir l’air de deux adolescents qui se partagent une grosse glace dans un cornet. Je préfère les glaces. On entend toujours « clic clic », mais aussi des grognements de plaisir. Je sens qu’il va jouir, alors je vise bien le visage de Julien, en lui disant :
— Ferme les yeux.
Je sais que le sperme dans l’œil, ça pique. Si, si… demandez à votre femme quand elle revient du bureau, après avoir essayé d’obtenir une augmentation. Ce n’est pas que je chouchoute Julien, mais si je le punis, ce sera sur son cul, pas dans ses yeux. Dennis gueule :
— Fuck, I’m cumming !!
Aussitôt, le visage de Julien est décoré de guirlandes de foutre chaud qui arrivent par saccades, c’est mignon. Dennis continue de faire des photos, en grognant. Avec les doigts, je nettoie le visage de Julien, c’est-à-dire que je lui fais lécher le sperme sur ma main. Il avait les bourses pleines à craquer, l’Amerloque. Julien aura eu son petit goûter !
Notre photographe me dit :
— Tu es une belle salope. Je te reprendrai.
Oh ! C’est gentil. Je suis une belle salope avec « kiou » du tonnerre !
Il ajoute :
— Je vais commencer à développer. Vous, allez rejoindre Gilou.
Il n’est pas loin, Gilou. Juste un peu plus haut, dans la cabine de pilotage, pour faire le voyeur. Il nous dit :
— J’arrive.
Lui aussi, il nous fait poser un peu partout sur le bateau, autant Julien que moi. Ensuite, on doit poser à deux. Il nous dit :
— Embrassez-vous.
On remet ça ! Je prends Julien contre moi en disant :
— Tu as envie que je t’embrasse ?
— Oh oui, Samia !
On se fait un baiser chaste. Il se laisse embrasser comme une fille ! Il s’abandonne comme moi quand un vrai mâle m’embrasse. Comme je suis contre lui, je sens quelque chose me chatouiller la cuisse. Un moustique ?? Ah non ! C’est Julien qui bande. Gilou me dit :
— On va faire des photos en ski.
A suivre.
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