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Ma journée parfaite

Ma journée parfaite



Un soupçon de vécu par-ci, par-là. Mais le récit en lui même est purement fantasmé.

Je sonne à votre porte. Vous m’ouvrez peu après et m’invitez à entrer. Alors que vous refermez derrière moi, vous me montrez une pile de vêtements noirs.
– Prends-les et suis moi !
Je m’en empare et vous suis jusqu’au pas d’une porte que vous m’ouvrez.
– Change-toi ici. Je veux te voir à genoux devant moi dans dix minutes !
J’entre dans ce qui semble être votre salle de bain et vous fermez à nouveau la porte derrière moi.
Je repère de suite une paire de chaussures à talons posée à l’entrée et me dis que je vais devoir apprendre très vite à marcher avec.
Je vais jusqu’au meuble à côté du lavabo pour y déposer les vêtements que j’ai encore dans les mains et les regarde un à un.

Après avoir découvert une culotte ouverte à l’arrière, un porte-jarretelles, des bas, un bustier et une mini jupe, j’entreprends de me déshabiller.
Une fois complètement nu je place le porte-jarretelles sur ma taille, je retrousse les bas et les enfile. Commence alors le supplice qui consiste à attacher les bas au porte-jarretelles. J’ai toujours eu beaucoup de mal avec ces espèces de pinces/agrafes et cette fois ne déroge pas à la règle.
Après de longues minutes à batailler avec ces attaches je peux enfiler cette culotte à l’allure si obscène. Par curiosité je me penche devant le miroir et en écarte les deux côtés. Mon petit trou est alors clairement visible et l’idée de pouvoir me faire envahir sans même avoir besoin de baisser ma culotte m’excite quelque peu.
Vient ensuite le tour du bustier. Un bustier qui a le bon goût de ne pas posséder d’emplacement pour les seins. Au moins, je ne culpabiliserai pas de ne pas en avoir. Il me reste la mini jupe et je serai prêt. Encore une fois je me regarde de dos dans le miroir et constate que cette jupe ne cache pas grand chose.
Je me dirige vers le lavabo pour me passer un coup d’eau fraiche sur le visage et m’aperçois qu’un plug anal est posé à côté du robinet. Sans y faire plus attention je me dirige vers la porte, prends les chaussures aux talons finalement moins impressionnants qu’au premier abord, m’assois sur le rebord de la baignoire pour les enfiler et fais quelques pas peu assurés pour les essayer. Je sors finalement de cette pièce en me demandant où je dois me diriger.

J’ai la surprise d’entendre un morceau de musique classique en sortant. Le son n’est pas assez fort pour que je l’entendes de l’intérieur mais maintenant sorti je le distingue suffisamment pour laisser mon oreille me guider jusqu’à sa source.
J’arrive dans ce qui semble être votre salon dans lequel vous m’attendez assis sur votre divan. Vous m’observez tandis que je me dirige jusqu’à vous aussi adroitement que ces chaussures me le permettent et m’agenouille sur le tapis face à vous.
– Ca te va bien. Une vraie petite chienne. Mais je t’attends depuis plus d’un quart d’heure. Combien de temps avais-tu pour te changer ?
– Dix minutes !
– Dix minutes, qui ?
– Monsieur ?
– Combien de temps avais-tu pour te changer ?
– Dix minutes, monsieur !
– Bien ! A partir de maintenant tu ne te mettras debout que quand je te l’ordonnerai. Je ne veux te voir qu’à genoux ou à quatre pattes. Maintenant lève-toi et met-toi debout à côté de moi.
– Oui, monsieur !
Une fois en place à l’endroit demandé, vous me saisissez par le poignet et me tirez vers vous de sorte que je me retrouve allongé le ventre sur vos cuisses.
– Ca c’est pour m’avoir fait attendre.
Une première claque s’abat sur ma fesse droite, puis une sur la gauche, puis une autre, encore une autre…
Je me crispe un peu alors que cela fait maintenant plusieurs dizaines de secondes que vous claquez chacune de mes fesses à son tour. Vous accélérez lentement le rythme tandis que je commence à sentir mon postérieur se réchauffer et devenir douloureux. Quelques cris timides sortent de ma bouche et s’amplifient en même temps que la douleur.
– Arrête de remuer comme ça ou je tape plus fort !
J’essaie autant que je peux de ne pas bouger mais les claques sont si cinglantes…
Vous marquez une pause de quelques secondes et caressez mes fesses avant de baisser ma culotte et recommencer de plus belle.
Que ce soit le bruit ou le choc sur mes fesses brulantes, tout me donne l’impression que ma punition est encore plus sévère que quelques instants plus tôt, ma culotte relevée.
Je cris alors de bon cœur à chaque fois que votre main s’abat sur une de mes fesses, gardant à l’esprit que je dois bouger le moins possible.
Chaque fois que vous vous arrêtez et caressez mes fesses c’est pour recommencer à un rythme plus élevé.
Et alors que mes cris, miroir sonore de ma douleur, ont redoublé d’intensité, vous claquez mon cul aussi fort et aussi rapidement que possible, dans une ultime série de coups ayant pour but de me rappeler que j’ai intérêt à prêter attention à ce que vous me demandez.
– J’espère que tu as bien compris la leçon !!? Tu as le droit de te lever !
Je me lève alors et pose mes mains sur mes fesses. Elles sont si brulantes que je me demande de quelle couleur elles sont.

– Remonte ta culotte et allonge-toi sur le divan. Tête sur l’accoudoir, face au plafond.
J’entends le bruit de votre braguette tandis que vous faites quelques pas pour venir derrière moi.
– Recule de façon à ce que ta tête dépasse un peu de l’accoudoir.
En m’exécutant j’entrevois votre pénis puis vos slip et pantalon baissés aux genoux. C’est un sexe d’une bonne taille que vous approchez de ma bouche. Pas effrayant non plus mais plus imposant que mes seize petits centimètres.
– Sors ta langue !
Vous faites de lents va-et-vient la bite contre ma langue, de votre gland jusqu’à vos couilles avant de vous arrêter les testicules sur ma langue.
– Prends-en une dans ta bouche et suce-la !
Alors que je caresse de ma langue le testicule que j’ai englouti depuis plusieurs secondes :
– L’autre maintenant !
Je prends le temps de passer de l’un à l’autre pour lui administrer les mêmes gâteries.
Après une trentaine de secondes :
– Maintenant ouvre grand !
Je sens alors votre gland s’introduire en moi et se frayer un chemin jusqu’à cogner au fond de ma bouche.
Vous faites quelques va-et-vient comme ceci avant de m’incliner un peu plus la tête vers le bas.
Alors votre queue se fraye un chemin jusque dans ma gorge et tandis que vos couilles appuient contre mon nez, j’ai l’impression d’étouffer.
J’essaie de me dégager mais vous tenez ma tête entre vos mains de sorte qu’il faille que je me débatte un peu plus pour que vous la retiriez.
Une fois votre bite hors de moi je tousse, reprends mon souffle et mon calme. Je sens alors une claque peu appuyée.
– Qui t’a dit que tu décidais du moment où je me retire ?
– Mais je n’étais pas prêt et…
Une deuxième claque un peu plus appuyée s’abat sur ma joue.
– Ne répond pas !
– Oui, monsieur !
– Maintenant prend ton souffle et ouvre la bouche !
C’est ce que je fais peu avant de sentir à nouveau votre queue entrer dans ma gorge et vos couilles s’écraser sur mon nez.
Vous restez ainsi quelques secondes avant de vous retirer. Et alors que votre gland approche du bout de ma langue, vous rentrez votre bite aussi sec jusqu’à la garde. Pensant que j’allais pouvoir reprendre ma respiration, me voilà à nouveau pris au dépourvu. Je panique rapidement et me mets à remuer pour essayer de me dégager. Vous forcez la position quelques secondes avant de vous retirer. A peine ais-je fini de reprendre mon souffle qu’une autre claque me surprend.
– Qu’est-ce que je t’ai dit ?!!
J’évite soigneusement de me justifier cette fois-ci.
– Je m’excuse ! Je suis désolé, monsieur!
– Très bien. Ouvre la bouche !
Votre sexe se fraye à nouveau un chemin jusqu’au fond de ma gorge et, une fois toute la longueur enfoncée, vous commencez quelques va-et-vient.
Quand je commence à montrer des signes de difficulté, vous continuez quelques secondes avant de vous retirer.
Après quelques séries comme celle-ci, en vous retirant :
– Crache au lieu d’avaler ta salive, ça te facilitera la tâche.
Je ne traine pas à m’exécuter et pivote la tête pour éviter de me cracher dessus.
Une nouvelle claque s’abat :
– Je n’ai pas le souvenir de t’avoir demandé de tourner la tête !!?
Je remets la tête droite et laisse couler la salive que j’ai dans la bouche le long de mon visage. J’arrive à éviter que ça me rentre dans le nez mais mon œil, lui, y a droit.
Alors que je sens votre gland appuyer contre mes lèvres, je rouvre la bouche pour vous laisser à nouveau me baiser la gorge.
Après quelques dizaines de secondes je sens une nouvelle claque me cingler la joue alors que votre queue est encore plantée au fond de ma gorge.
– Tes dents !
Malgré ma mâchoire qui commence à devenir douloureuse, je m’empresse de rouvrir aussi grand que possible.
Vous me baisez la gorge pendant plusieurs minutes, me rappelant à l’ordre de temps en temps. Plus le temps passe et plus mon visage est inondé de salive. J’en ai plein les yeux, plein les cheveux, ça tente de s’infiltrer dans mon nez. Au fur et à mesure des minutes cette gorge profonde me semble de plus en plus difficile et éreintante et paradoxalement j’ai l’impression d’avoir plus de facilité à sentir vos couilles taper contre mon nez.
– Prend une grosse inspiration !
Je ne sais pas ce qui va s’en suivre mais je le fais.
Alors les va-et-vient deviennent très rapides, de plus en plus saccadés, je sens votre bite durcir en moi et dois prendre sur moi pour ne pas tressaillir sous cet ultime assaut.
– Avale tout, salope !
Votre sperme chaud se déverse dans ma gorge tandis que votre sexe est fermement planté le plus au fond possible. Après quelques secondes, de secs à-coups de quelques centimètres destinés à vous vider intégralement manquent de m’étouffer. Vous vous retirez finalement dans un soupir de plaisir alors que je tente de reprendre mon souffle sans m’étouffer avec ma salive et votre semence. Cette fois j’avale ce que j’ai dans la bouche au lieu de le cracher.
Vous me laissez une grosse minute pour m’en remettre.
– Va te laver la face et reviens, en marchant, t’agenouiller devant moi. Tu as dix minutes.

Je m’assois sur le divan, la face complètement souillée, encore essoufflé. Puis je me mets à quatre pattes et me dirige vers la salle de bain. Je me dépêche cette fois-ci pour être dans les temps.
Je me frotte le visage à de nombreuses reprises à l’eau tiède, tente d’en faire autant sur les cheveux. Je les détache, les rattache et regarde la couleur de mes fesses, pourpres et brulantes, avant de ressortir de la salle de bain avec l’idée qu’il faut que je me dépêche si je ne veux pas qu’elles virent sur le violet.

J’entre à nouveau dans le salon, à peine plus assuré sur ces chaussures que lors de ma première entrée. Votre regard me suit à nouveau et me voilà une seconde fois à genoux devant vous.
Je vous regarde vous lever et vous diriger derrière moi. Vous att****z ma queue de cheval et me tirez légèrement vers le haut.
– Debout !
Ne serait-ce que pour alléger le tiraillement de mon cuir chevelu, je m’empresse de me lever.
Sans lâcher prise vous commencez à avancer jusqu’à la porte du salon. Je n’ai d’autre choix que de vous suivre si je ne veux pas que ce soit trop douloureux. Et je dois bien admettre que ces chaussures ne me facilitent aucunement la tâche.
Vous m’emmenez ainsi jusqu’à ce qui parait être votre chambre. Vous lâchez prise et me poussez sur le lit.
– Met-toi à quatre pattes, dos à moi.
Une fois l’ordre exécuté :
– Tu as vraiment cru que je décorais ma salle de bain avec des sex toys ?!! Tu aurais dû te le mettre, ça aurait facilité ce qui va suivre. Prend le lubrifiant sur la table de nuit et prépare-toi. Le temps que tu as est celui qu’il me faudra pour aller chercher de quoi t’attacher.
Alors que vous sortez de la pièce, je m’empresse de faire ce que vous m’avez demandé. La douleur d’une sodomie non préparée est si intense que j’ai intérêt à me dépêcher. Je me tartine rapidement le petit trou après avoir baissé ma culotte et remonté ma jupe, m’enfonce un premier doigt et j’ai à peine le temps de commencer à m’en enfoncer un deuxième que je vous vois rentrer dans la chambre, trois paires de menottes et une serviette à la main.
– Stop !
Si j’ai eu une minute c’est le maximum.
Vous me tendez la serviette et une paire de menottes.
– Essuie-toi les doigts avec ça et ensuite attache tes mains devant toi. Je veux te voir t’attacher !
Vous passez derrière moi me lier les jambes ensemble juste au-dessus des chevilles et revenez me regarder me menotter moi-même.
– Bien ! C’est une bonne chienne docile que j’ai là !
Alors vous me plaquez la tête contre le matelas et ramenez mes mains contre mes chevilles pour attacher ensemble les menottes que j’ai aux mains et aux pieds à l’aide de la troisième paire.
Vous vous saisissez de la serviette et passez derrière moi. Vous essuyez le lubrifiant sur mes fesses en ne laissant lubrifiée que ma rondelle. Vous remontez ma culotte tandis que je vous sens monter sur le lit. Vous vous lubrifiez le sexe, écartez ma culotte, posez votre gland sur mon petit trou et m’enfoncez toute la longueur de votre queue sans aucun ménagement.
Le peu de temps que j’ai eu pour me préparer aura à peine amenuisé la douleur. Je me crispe, grimace et pousse des gémissements de douleur tandis que vous sortez et rentrez encore sur toute votre longueur. C’est une douleur intense mais le peu que j’ai pu préparer la rend surmontable.
Après une grosse minute à faire aller et venir votre queue dans mon petit trou, la douleur commence à s’estomper. Une minute plus tard je vous sens sortir de moi. Pleuvent sur mes fesses quelques claques dont la première m’aura surpris avant que vous ne rentriez à nouveau en moi, bien plus sauvagement cette fois-ci. Vous me pilonnez sur toute votre longueur.
J’encaisse votre sauvagerie avec un mélange de plaisir et de douleur. Je n’ai jamais été très profond et chaque fois que vos couilles claquent sur mes fesses une légère douleur se fait sentir au fond de moi. Néanmoins le plaisir que je ressens par mon cul est de plus en plus présent et finit par submerger tout le reste. Je me fais prendre comme une chienne et j’aime ça !
Après une dizaine de minutes, alors que mes gémissements ne véhiculent plus que le plaisir de me faire prendre ainsi, vous vous retirez une nouvelle fois, me claquez à nouveau les fesses, retirez les menottes qui rejoignaient mes mains à mes pieds, m’att****z par les cheveux et me relevez la tête en me renfonçant violemment votre queue dans mon trou dilaté. De violents coups de butoir me poussent vers l’avant, si bien qu’il ne faut pas longtemps pour que je me retrouve à plat ventre, dominé de tout votre poids alors que vous continuez à me défoncer.
Vous me baisez ainsi pendant plusieurs minutes, alternant le rythme et la v******e de vos coups de rein, tantôt me recouvrant de tout votre corps, tantôt redressé pour pouvoir me claquer les fesses. Je n’ose même plus essayer d’en imaginer la couleur.
Vient finalement le moment où je vous sens accélérer le rythme et vous crisper en moi, signe que je vais me faire remplir sous peu.
Mais contre toute attente vous vous retirez rapidement, vous plantez devant moi, me relevez la tête à l’aide de mes cheveux fermement empoignés et m’enfoncez votre bite dans la bouche jusqu’aux couilles pour vous déverser une nouvelle fois au fond de ma gorge dans un râle de plaisir.
Pris une nouvelle fois au dépourvu, pensant d’abord que je me ferais remplir le cul puis imaginant que vous me tapisseriez le visage de votre semence quand je vous ai vu vous planter devant moi, je manque à nouveau de souffle. Je dois en plus de ça résister à la douleur procurée par mes cheveux sur lesquels vous exercez un tiraillement incontrôlé dû à votre jouissance. J’avale néanmoins tout ce que je peux en essayant de ne pas m’étouffer. Quand vous vous retirez finalement, je tousse pour évacuer ma gorge et pouvoir respirer. Du sperme dégouline alors le long de mon menton tandis que je reprends mon souffle. Mes cheveux toujours dans votre main, vous me plaquez la bouche sur votre semence ayant attéri sur vos draps.
– Lèche bien et avale tout !
C’est ce que je fais et avec mes doigts je ramène dans ma bouche tout ce qui avait pu couler sur mon menton.
Je sens votre main lâcher prise tandis que je finis le boulot et une fois que j’estime avoir tout nettoyé :
– J’espérais que vous vous videriez entre mes fesses, monsieur.
Vous ne me répondez pas et me détachez les mains. Vous vous levez et me détachez les pieds.

– Remonte ta culotte et va te mettre à quatre pattes dans la baignoire !
Je remonte d’emblée ma culotte, descends du lit sur mes mains et mes genoux et entame le trajet jusqu’à la salle de bain à quatre pattes alors que vous me suivez de très prés. Même dans cette position ces chaussures arrivent à me gêner.
Une fois dans la salle de bain, j’enjambe la baignoire et cette façon d’y entrer me fait sentir chienne plus que jamais. Vous montez alors dans la baignoire devant moi.
– Nettoie ma bite avec ta langue !
Au fur et à mesure que j’exécute votre demande, je sens et vois votre sexe durcir à nouveau. Une fois dressé vous sortez de la baignoire pour y entrer à nouveau derrière moi. Vous retroussez ma jupe sur mon dos et me plantez votre bite, à travers la culotte, dans mon petit trou, plus si petit que ça après votre précédent assaut, et restez les couilles contre mes fesses durant de longues secondes.
– Tu voulais que je me vide en toi, c’est bien ça ?!!
Je commence à sentir une forte chaleur m’envahir de l’intérieur et ce n’est qu’au bout de quelques secondes que je réalise que vous urinez en moi. Le peu de dignité qu’il pouvait me rester s’envole à mesure que vous me remplissez.
– J’espère que ton souhait est exaucé ?!!
Après plusieurs dizaines de secondes, alors que mes intestins sont pleins de votre pisse, la quantité introduite commence à me tirailler de l’intérieur.
Vous finissez par vous retirer et m’enfoncez aussi sec le plug qui était resté sur le lavabo.
– Garde tout en toi jusqu’à ce que j’en décide autrement.
Je dois lutter contre la pression de votre urine qui ne demande qu’à sortir et serrer les fesses pour garder le plug planté en moi alors que je suis encore dilaté des coups de bite précédents.
Vous vous plantez à nouveau devant moi.
– Nettoie-moi ça !
J’ouvre alors la bouche et vous insérez immédiatement votre queue en moi. Je la suce avidement même si le mélange d’urine et de lubrifiant qui la recouvrent me dégoute un peu. Mais plus les secondes passent et plus j’ai de mal à tout conserver en moi. Serrer les fesses devient un supplice et mes intestins sont tiraillés par ce qu’ils contiennent.
Alors que je m’affaire à vous nettoyer décemment la verge je sens quelque chose de chaud m’envahir la bouche. Le goût et l’expérience précédente me mènent rapidement à la conclusion que vous n’aviez pas tout uriné entre mes fesses.
– Je t’en avais gardé un peu. Tu n’as pas intérêt à en recracher une goutte !
Je prends sur moi et avale tant bien que mal ce liquide dégueulasse. Heureusement pour moi, vous aviez presque tout vidé dans mon cul auparavant !
Heureusement ? Tout ça me tiraille de l’intérieur. Devoir tout garder devient pénible.
Je recommence alors le travail depuis le début et vous suce à nouveau goulument pour effectuer le nettoyage demandé. Je joue de ma langue et continue à vous nettoyer la verge en grimaçant de temps à autre jusqu’à ce que je finisse par craquer et tout laisser sortir. Je me pisse dessus par le cul tandis que vous vous retirez de ma bouche puis de la baignoire. Je me rends compte que c’est un acte qui ne restera visiblement pas impuni.
– Tu n’avais plus longtemps à tenir. Je suis déçu ! Je vais te chercher de quoi te changer.
Vous sortez de la salle de bain et revenez une minute plus tard avec une serviette, une nouvelle paire de bas et un string noirs tous les deux. Vous pointez du doigt le rebord de la baignoire.
– Prend ce gel douche, lave-toi et rince la baignoire. Change ensuite la lingerie que tu as souillée, met-la dans le lavabo et reviens me voir. Laisse le plug ici après l’avoir nettoyé. Tu as vingt minutes.
Je me dépêche de tout retirer, dépose mon bustier, mon porte-jarretelles et ma jupe à côté du lavabo tandis que je balance ma culotte ouverte et mes bas souillés dans le lavabo. Je m’attache les cheveux de sorte à ne pas les mouiller, m’empare de la pomme douche et me frotte à l’eau chaude avec le gel douche. Je nettoie le plug à l’eau très chaude et rince la baignoire à l’eau brûlante après m’être séché. Il va falloir que je repasse par la case porte-jarretelles.
Je n’ai aucune idée du temps qui s’est écoulé mais j’ai fait aussi vite que possible. Je sors de la salle de bain et suis à nouveau la musique. Je traverse le salon avec un pas toujours aussi peu assuré et m’agenouille à nouveau devant vous, me demandant ce qui va me tomber dessus.
– Tu avais vingt minutes. Ça en fait plus de vingt-cinq que je t’attends.
Je baisse les yeux face à cette nouvelle remontrance.
Vous vous levez, vous avancez jusqu’à la table et vous emparez d’un bâton d’un peu moins d’un centimètre de diamètre et d’une longueur d’un mètre environ. Il semble assez souple et en même temps très rigide.
– De plus, je n’ai pas le souvenir de t’avoir autorisé à te déplacer debout !!?
Je n’ai rien à répondre et baisse encore plus la tête.
– Ce sera vingt coups pour ne pas avoir tenu jusqu’au bout et avoir souillé ta culotte et tes bas, dix coups pour m’avoir fait attendre, dix de plus pour ne pas m’avoir rejoint à quatre pattes et dix derniers pour mon plaisir personnel. Maintenant lève-toi, passe derrière le divan et penche-toi au-dessus de sorte que ton ventre soit en appui sur le dossier et que tes fesses me soient bien visibles.
Pendant que je me lève et fais le tour du canapé :
– Tu compteras les coups avec moi à voix haute. Je ferai une pause après le vingt-cinquième puis je reprendrai jusqu’au bout.
Vous vous avancez jusqu’à moi, relevez ma jupe au-dessus de mes fesses et me les caressez.
– Ce string te fait un très joli cul !
Vous reculez. Je sens cette baguette se poser en plein milieu de mes fesses. Puis le contact cesse et je sens le premier coup me cingler les fesses dans la même seconde. La douleur est violente. J’encaisse mais je ne peux m’empêcher de laisser sortir un gémissement de douleur. Dire qu’il m’en reste quarante-neuf…
– Un ! Je te conseille de te dépêcher de compter. Dorénavant chaque coup que tu ne comptabiliseras pas à haute voix dans les secondes qui les suivent sera redonné.
– Désolé, monsieur ! Un !
A peine ais-je fini de prononcer ce chiffre que j’entends le court sifflement de la baguette déchirant l’air suivi du deuxième coup me fouetter les fesses.
– Deux !
Au cinquième je commence déjà à me tortiller dans tous les sens après que le coup m’ait été donné.
En criant de douleur :
– Cinq !
Les cinq suivants paraissent tellement violents que c’en est insupportable.
Au dixième je me redresse et sautille sur moi-même en me tenant les fesses et gémissant de douleur.
– Dépêche-toi de te ré incliner ou je t’attache et te donne les quarante-et-un autres sans la moindre pause entre chaque coup !
– Les quarante autres, monsieur !
– Tu n’as pas validé le dernier.
Je me remets en place, dégouté d’avoir gagné un coup de plus, et prends une grosse inspiration quand je sens à nouveau une intense douleur m’arracher la peau des fesses. Tout du moins c’est l’impression que j’ai à chaque coup donné dorénavant.
Je crie et remue les jambes dans l’espoir que ça apaise un tant soit peu la douleur.
– Dix !
Les cinq suivants ne sont espacés que de quelques secondes. Juste le temps de me laisser compter à haute voix.
Après le quinzième je m’attendais à me tordre de douleur sous les coup des suivants mais j’ai d’abord senti cette immonde baguette me caresser les fesses avant de recevoir à nouveau cinq coups d’affilée. Même les caresses deviennent douloureuses. J’aurais dû serrer les fesses tout à l’heure, ça aurait finalement été moins douloureux !
– Vingt !
Je commence à avoir le nez qui coule. La douleur me tire des larmes que je n’aurais jamais cru être capable de verser.
Les cinq suivants me laissent le temps de récupérer un peu entre chaque.
– Vingt-cinq !
Je renifle et prend ma respiration, bien décidé à savourer ce moment d’accalmie.
– La moitié. Tu ne t’en tires pas si mal. J’espère que tu y réfléchiras à deux fois la prochaine fois que tu voudras prendre l’initiative de ne pas respecter mes demandes. Tu peux te redresser pendant cette pause !
Je passe les mains sur mes fesses sans trop appuyer. Elles sont brulantes et pleines de boursouflures. J’espère que ça ne saigne pas. Je regarde mes mains pour m’en assurer. Elles sont dénuées de sang.
– Si tu veux te dégourdir les jambes, je t’autorise à faire quelques pas dans le salon !
C’est ce que je fais. Peu importe les talons haut.
Après quelques pas, l’équivalent d’une grosse minute :
– Bien !
Vous me montrez un mur de votre doigt.
– Va face au mur, les mains collées dessus à la hauteur de ton cou, et écarte légèrement les jambes.
Je m’y dirige de suite et m’exécute.
– Écarte un peu plus.
J’écarte encore de quelques centimètres.
– C’est bien ! La punition te rend très docile.
Je vous entends vous rapprocher de moi puis je sens à nouveau la baguette me caresser les fesses.
Vous recommencez directement par cinq coups d’affilée, ne me laissant même pas le temps de les compter. Je me tords de douleur, cris et renifle.
– Trente !
– Bien !
Cinq autres pleuvent sur mes fesses de la même manière et ma réaction est encore plus intense. Je me retiens de pleurer tellement la douleur est intense et bredouille en reniflant :
– Trente-cinq !
Les cinq suivants sont plus espacés et j’ai le temps de compter chaque coup avant d’en recevoir un autre. Ça ne rend pas la douleur moins intense, c’est juste moins invivable.
– Quarante !
– Ta punition est terminée. Maintenant c’est pour mon plaisir personnel.
Je sens une nouvelle fois la baguette me caresser les fesses. Le coup suivant est nettement plus fort que les précédents. Je gigote sur place.
– Quaran…
Le suivant me coupe dans ma lancée. Puis un autre. Encore un. Les coups se suivent et me défoncent littéralement les fesses. Votre plaisir personnel est bien plus intense que ma punition. Je remue dans tous les sens et cris à chaque coup reçu. J’ai abandonné bien vite l’idée de compter ces dix derniers coups. Je n’en ai ni le temps, ni la force.
Enfin :
– Cinquante !
Des larmes me coulent le long des joues. La douleur me fait danser sur place. Je reprends mon souffle entre deux sanglots étouffés. J’ai peur de ne plus pouvoir m’assoir pendant des jours.
Vous vous dirigez vers la table et y posez la baguette puis allez vous assoir sur le canapé.

– Te voir danser de la sorte dans cette tenue m’a terriblement excité. Viens t’agenouiller devant moi et avale ma queue ! Mais n’oublie pas ton statut. Il serait dommage de devoir te punir à nouveau.
Je décolle mes mains du mur et ne cherche même pas à toucher mes fesses de peur que leur simple contact ne soit douloureux. Je me mets à quatre pattes et me dirige jusqu’à votre entrejambes. A genoux devant vous, je défais la fermeture de votre pantalon. Vous vous surélevez le temps de le baisser aux genoux avec votre slip. Alors je m’empare de votre sexe dressé.
– Les mains sur le divan, je ne veux sentir que ta bouche autour de ma bite.
Je pose les mains à côté de chacune de vos cuisses et approche ma tête jusqu’à pouvoir saisir votre gland de mes lèvres. Je commence alors à le sucer, ravalant mes larmes qui ont finit de couler. Je reprends doucement mes esprits tandis que je m’applique à vous faire du bien de mes lèvres et ma langue. Je vous sens petit à petit donner de légers coups de rein pour accentuer les mouvements de va-et-vient. Puis :
– Prend-la toute entière. Je veux voir tes yeux quand tu t’étouffes avec ma queue.
J’essaie de me pencher un peu plus en avant pour libérer l’accès à ma gorge et tente d’y enfoncer moi-même votre verge.
Il me faut plusieurs essais pour sentir vos couilles sur mon menton et je n’y reste pas aussi longtemps que quand vous me l’avez rentrée plus tôt. Mais je ressens une certaine fierté à réussir à toute l’avaler sans y être forcé physiquement.
Avec les minutes j’ai de moins en moins de difficulté à la faire entrer complètement et m’aventure à quelques profonds va-et-vient entre deux grosses inspirations.
Alors que j’ai votre gland au fond de ma gorge et que je commence à reculer la tête pour reprendre mon souffle, vous posez vos mains sur ma tête et me renfilez jusqu’aux couilles. A ma grande surprise, j’encaisse ça plutôt bien et ne panique pas même si l’oxygène commence à clairement me manquer.
– Regarde-moi !
Rien d’évident mais j’essaie de vous regarder dans les yeux autant que possible. Mes yeux piquent et des larmes en coulent sans que je ne puisses rien contrôler. Alors que je commence à m’agiter, manquant d’air, vous relâchez la pression et me laissez reprendre mon souffle. Vous attendez que je me ré empale jusqu’aux couilles pour appuyer à nouveau sur ma tête en vous redressant, vous retrouvant debout face à moi. Mes fesses entrent en contact avec les talons de mes chaussures. J’en grimace un peu.
Vous me baisez alors la gorge debout devant moi, n’hésitant pas à bien faire taper mon menton sur vos couilles. Vous vous amusez comme ceci plusieurs minutes, alternant le rythme de vos allées et venues au fond de ma gorge, le temps que vous restez enfoncé en moi, celui pendant lequel vous me laissez reprendre mon souffle. De temps à autres vous me fouettez les joues avec votre bite avant de me la renfoncer sauvagement.
Puis vient le moment où je sens votre souffle accélérer, votre queue se durcir et vous vous retirez finalement, vous placez rapidement derrière moi.
– Pose ta tête sur le divan !
A peine ai-je le temps de me mettre dans la position demandée que je vous sens tirer la ficelle de mon string de côté et votre queue forcer l’entrée de mon anus maintenant bien resserré depuis l’épisode de la baignoire. Je ressens une horrible douleur alors que votre sexe se fraye un chemin dans mon petit trou serré. Je sers les dents et grimace en laissant s’échapper de nouveaux gémissements de douleur.
Une fois vos couilles contre moi, votre bite bien plantée dans les tréfonds de mon cul, vous me limez comme si j’étais ouvert depuis plusieurs minutes. La douleur reste tandis que vous accélérez encore et encore. Et alors que je commence à moins la ressentir, vous explosez en moi dans un hurlement bestial. De brutaux mouvements saccadés me claquent les fesses et je sens la chaleur de votre semence se répandre en moi.
Quand vous vous retirez, nous sommes tous les deux épuisés. Je reste sur mes genoux, la tête enfoncée dans le divan, le trou béant et dégoulinant de sperme.
– Serre les fesses si tu ne veux pas nettoyer le tapis avec ta langue !
Je m’empresse de faire ce que vous me demandez de peur de me retrouver à quatre pattes en train de lécher le tapis. Je prends même l’initiative de ramasser avec mes doigts ce qui avait commencé à couler le long de mes jambes pour le porter à ma bouche et l’avaler.
– C’est bien ! Tu as eu ce que tu voulais finalement !!? Tu t’es fait remplir le cul.
– Merci, monsieur !
– Nous nous arrêterons là pour aujourd’hui. Tu peux aller dans la salle de bain, prendre soin de tes fesses et remettre tes vêtements.
Je retourne alors à la salle de bain, adoptant cette position qui me sied particulièrement bien aujourd’hui, et me doute que votre regard est fixé sur les mouvements de mon cul alors que je sors lentement du salon sur mes mains et mes genoux.

La première chose que je fais en entrant dans la salle de bain est de regarder l’état de mes fesses. C’est un panache de couleurs oscillant entre le rouge et le violet. Quelques boursouflures semblent laisser échapper un peu de sang. Vous ne m’avez pas raté.
Je me déshabille, monte dans la baignoire et règle l’eau à une température très peu chaude. Je laisse alors l’eau couler sur mes fesses brûlantes et douloureuses. La sensation est agréable après ce que je viens de subir. Je passe doucement la main sur mes fesses pour nettoyer ces boursouflures et ne peux m’empêcher de sourire en pensant que vous m’avez littéralement défoncé le cul. Je vais, par contre, effectivement avoir beaucoup de mal à supporter le contact de mes vêtements sur mes fesses et la position assise durant quelques jours.
Alors que je commence à me rincer après m’être frotté une nouvelle fois le corps avec le gel douche posé sur le bord de la baignoire, j’entends la porte s’ouvrir. En me retournant, je vous vois complètement nu, le lubrifiant à la main. Vous vous avancez jusqu’à la baignoire, y montez derrière moi, me plaquez face contre le mur et me murmurez à l’oreille :
– J’ai encore envie de ton cul de chienne. Cambre-toi bien !
Alors vous coupez l’eau, vous lubrifiez la queue et me la rentrez une nouvelle fois sans le moindre ménagement. L’anus encore un peu dilaté de mon précédent remplissage, je ne ressens presque aucune douleur. Le plaisir ne tarde pas à m’envahir alors que vous me limez sauvagement. Les coups de hanches contre mes fesses me rappellent régulièrement dans quel état vous me les avez mises mais le plaisir apporté par les va-et-vient incessants de votre verge dans mon fondement submergent amplement cette légère douleur. Vous me défoncez une nouvelle fois le cul, m’empoignant de temps à autres par les cheveux pour tourner ma tête et me faire sucer votre langue. Après plusieurs minutes, quand vous m’empoignez par les cheveux c’est pour me mettre à genoux.
– Ouvre la bouche et tire la langue !
Alors vous explosez sur mon visage en me tirant la tête en arrière. Je reçois de votre semence plein la face, mes yeux n’étant pas épargnés. Après quelques secondes vous m’enfoncez votre verge dans la bouche.
– Nettoie-la !
Une fois que vous estimez la tâche effectuée, vous vous retirez et ramenez dans ma bouche tout le sperme qui inonde mon visage à l’aide de vos doigts que vous n’hésitez pas à me faire sucer chaque fois que vous arrivez à mes lèvres.
– Putain que c’est bon !
Vous sortez de la baignoire.
– Enfile le string quand tu remettras tes vêtements. Je veux voir ton cul une dernière fois avec la ficelle entre tes fesses. Tu le ramèneras la prochaine fois !
Vous sortez de la salle de bain et j’entreprends de me laver la face à l’eau chaude. J’en viens à me demander si vos envies sont enfin toutes assouvies pour aujourd’hui.

J’enfile mes vêtements après avoir remis mon slip par-dessus le string, ne sachant pas qu’en faire, et je sors de la salle de bain. Je me dirige au salon pour vous remercier et vous dire au revoir avant de partir. Vous êtes avachi, nu sur le divan. Vous vous levez.
– Merci pour m’avoir fait sentir chienne, monsieur !
– J’ai quelque chose pour toi avant que tu partes.
Et vous sortez du salon.
Vous revenez peu après, le plug qui était dans la salle de bain et le lubrifiant à la main.
– Baisse ton pantalon. Je veux revoir ton cul avant de partir.
Je m’exécute.
– Pourquoi as-tu remis ton slip ?
– Je ne savais pas quoi en faire, monsieur.
Vous avancez jusqu’à la table et posez le lubrifiant à côté du bâton m’ayant mis les fesses dans cet état. Un frisson me parcourt à l’idée que vous allez le reprendre et me punir à nouveau.
– Alors ce sera à sec.
Vous revenez vers moi, baissez mon slip et prenez le temps de regarder mes fesses et de les caresser avant d’écarter la ficelle de mon string sur le côté.
– Ecarte tes fesses !
Debout et cambré, j’écarte mes fesses le plus possible.
Vous plaquez la tête du plug sur ma rondelle encore légèrement dilatée, mais maintenant dépourvue de tout lubrifiant suite à ma douche, et commencez à me l’enfoncer.
Ça tire un peu mais ça reste supportable. Je vous sens forcer jusqu’à ce qu’il soit en place.
– C’est bon, tu peux relâcher !
Vous claquez alors chacune de mes fesses puis remettez la ficelle de mon string sur la base du plug dépassant de mon intimité.
– Tu peux y aller maintenant. J’espère bien vite revoir ce cul de salope.
Je remonte mon slip et mon pantalon en gardant le silence.
– A très bientôt, monsieur !
– A bientôt, chienne !
Et je me dirige vers la porte d’entrée. Je l’ouvre, sors et la referme derrière moi.
Un immense sourire se dessine sur mon visage tandis que je passe une main sur mon cul douloureux.
Mon fantasme s’est enfin réalisé. Et qu’est-ce que c’était bon !

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