Je viens d’être embauché dans un cabinet Parisien où nous sommes une bonne dizaine, tous embauchés plus ou moins en même temps. Il y a des hommes, des femmes, des jeunes des moins jeunes. C’est un gros foutoir et je ne vais pas pouvoir y rester longtemps car franchement pour le travail c’est pas le paradis. Côté femme, j’ai deux collègues totalement différentes qui ne sont pas mal du tout. Anabelle est une jolie jeune femme, en manque d’assurance, délirante mais un brin maigre. Je ne manque jamais de lui dire qu’elle ne risque pas de s’étouffer avec ses seins. Et puis il y a la belle blonde comptable, une charmante quadra, Valériane. Elle est divorcée, super pro et on s’entend très vite très bien. Pas difficile de bien s’entendre avec une femme si bien roulée d’ailleurs. Une belle poitrine, qui semble bien lourde, une belle chute de rein et un sourire à tomber par terre. Très vite, on parle de tout de rien, j’attire son attention avec mon humour foireux sur mes ambitions. Elle est assurée, ne manque pas d’être libérée, et s’amuse avec son jeune collègue (c’est elle qui m’a fait connaître ce site…). Elle m’avoue se raser, qu’elle est une vraie coquine mais… très fidèle! surtout à son espagnol de bonhomme qui a l’air de très bien la combler… (si elle me lisait là elle dirait sûrement « encore hier soir… »).
Un soir, je me retrouve très embêté avec des clients. Ils ont décidé de vérifier la comptabilité, je pars dans quelques jours définitivement, mais je veux surtout partir proprement. Car le monde est petit.
Alors je vais devoir durement expliqué chaque ligne de compte, chaque virement et répondre à toutes leurs questions. Oui mais je ne suis pas comptable moi. Et il est déjà 17h30, l’heure où Valériane décide habituellement de partir en moto derrière son Madrilène.
En passant devant le petit groupe que je forme avec les clients, je vois ma comptable me saluer dans son jean moulant et avec son habituel gros pull qui moule bien ses gros seins.
Je continue de répondre aux questions, concentré sur mes clients et lui dit aurevoir le plus banalement du monde.
En ce soir d’hiver, il fait déjà bien nuit mais les questions sont toujours là et je me dis que j’aurai mieux fait de forcer Valériane à rester quelque peu avec nous.
Les clients sont de mauvaises humeurs, moi j’ai déjà la tête ailleurs mais le flot de question/réponse continue.
Enfin, vers 19h la dernière question sonne le glas de ce rdv morose mais surtout annonce mon retour à la maison.
La salle de réunion commence à se vider et je monte les marches qui ramène vers la sortie du cabinet quand je crois Valériane!
– Qu’Est-ce que tu as oublié?
– rien, je suis venu t’aider car j’ai bien senti que c’était compliqué la compta de cet immeuble.
– c’est … gentil ça! mais on en a finit!
Un client profite de ce moment pour dire:
– ah oui mais les comptes travaux?!
Horreur! je vais la maudire là!!
– Ah tu vois, j’ai bien fait de repasser…
– o… oh…. ok on y retourne alors?
– Oui, Monsieur, je vais rester avec Madame MICHU pour les comptes travaux.
nous saluons donc les trois autres personnes et nous voilà à 4 avec Valériane.
– je suis pas sûr de vouloir te remercier, lui dis-je à l’oreille en retournant au bureau.
– mais si, mais si tu verras que tu me remercieras.
mes genoux oui!! bref, on est reparti pour une séance de ping-pong et je commence sévèrement à avoir ma dose de chiffres, de comptes, de ligne, des clients…
je ne lâche presque plus du regard la comptable et à ce moment je rêve juste de lui arracher les cheveux!!!
nerveusement, je tape plusieurs fois mon pied dans ses jambes, elle ne bronche pas du tout. Elle se lève plusieurs fois, se penche sur mon épaule, laisse son sein taper mon épaule, ou ma tête, mais je remarque à peine, tellement d’une part je suis soulé et d’autre part que ce matin encore elle m’a vanté les mérites de la queue besogneuse de son espagnol.
Vers 21h, se rejoue la scène du départ.
Je n’en peux plus, je ne rangerai les dossiers que demain, et je ne suis pas encore chez moi. J’ai faim, le ventre gargouille et je n’ai presque plus de clope.
– Merci d’être venu, au revoir, on se tient au courant. (« cassez-vous putain » aurait tout autant fait l’affaire vu mon état de nerf!!)
– merci Monsieur, de votre patience, et à bientôt.
– Enfin!! pfff depuis quand tu fais des heures supplémentaires toi?
– Et bien je voulais t’aider et tu râles!
– J’ai pas eu l’impression que tu m’aidais, en tout cas pas à vite être dans mon lit!
– Oh ça va, tu pourrais me remercier quand même.
– Ah bon…
Je sors fumer, et elle me suit.
– Laisse moi tirer dessus.
– Tiens, je lui tends ma clope.
– merci
on fume tranquillement, elle remarque que je ne suis pas aux anges.
– Bah si j’avais su…
– oui comme tu dis là je suis pas vraiment d’humeur… enfin, si tu me laisses toucher tes seins je pourrais retrouver le sourire!
– Ils te plaisent hein…
– Bah avec tes pulls on sait pas exactement mais oui je crois que je pourrais les apprécier.
– Alors c’est mon pull le problème?
– Non c’est ton mec le problème! Il est où d’ailleurs lui?
– Parle moi de mon pull et pas de José hein!
– Ah oui ok, j’ai toujours préféré mais bon ton pull c’est pas encore le mieux.
– T’as raison!
-…
– C’est mieux là?
Sans rien dire, Valériane, a retiré son gros pull et là je découvre qu’elle est juste en soutif dessous. Un très beau soutif rouge quasiment transparent. Il laisse bien deviner ses tétons roses, qui pointent (le temps est fort doux en ce mois de novembre) mais surtout je vois que sa poitrine est bien plus grosse qu’imaginer…
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