Trouvant particulier de revoir Élaine au lendemain matin complètement nue. Impassible après avoir été défloré la veille par son amie. Clair dans ses yeux qu’elle savait que j’avais sailli Sylviane. Savonnant sa grosse poitrine à sa demande se sentant de plus en plus à l’aise avec moi. Remettant sa petite culotte noire puis son short d’été rose pâle. Passant la tondeuse chez elle en milieu d’après-midi. Pour revenir le soir et masser ses belles grosses jambes charnues. Beaucoup plus chaude qu’à son habitude. Elle se laissait faire sans trop parler. Avec sa chatte odorante toujours aussi mouillée. Ne sachant pas trop si je devais y toucher ou bien seulement regarder. Elle ne semblait visiblement pas ouverte à faire l’amour. Respectant cette approche sans trop vouloir la brusquer. Les jours suivant se déroulant comme suit. Sylviane apparaissant un jeudi soir pour nous retrouver au salon. Élaine nous laissant seuls à nouveau vers 21 heures 30. Discutant une quinzaine de minutes ensemble…
Sylviane – Tu veux encore me fourrer…
Moi – Ok…Et Élaine…
Sylviane – Elle est au courant…Fais toi en pas avec çà…
Moi – C’est quand même particulier…
Sylviane – Pose toi pas trop de questions…Les choses arrivent de cette façon pour une raison…
Moi – Ah…Ok…On retourne alors à la chambre…
Sylviane – Oui…Prend moi vite en levrette…Comme la dernière fois…Tu te retires avant d’éjaculer…Tu me reprends aussitôt ta tige nettoyé en missionnaire…Et donne z’y dans ma pantoufle…J’aime çà bien intense…
Fourrant la madame pendant une bonne demi heure dans la chambre tout près. Elle commençait à réagir sous mes secousses malgré mon manque d’expérience. Élaine qui devait inévitablement nous entendre allongée dans son lit. Baisant la vieille madame qui avait presque trois fois mon âge comme un lapin en chaleur. Avec sa chatte toujours bien serrée autour de ma hampe. Ses mains agrippées à mon fessier et ses cuisses bien ouvertes. Elle m’enseignait les plaisirs de la chair et je lui en étais totalement redevable. Déjà que son visage allait être gravé pour la vie dans mon esprit. Pour ensuite repartir chez moi après l’avoir fait deux fois avec mon initiatrice. L’événement se reproduisant de façon semblable au lendemain soir avec elle. Jouissant en m’encourageant à la prendre plus vivement. Mon coeur battant la chamade après l’avoir entendu crier quelques fois. En plus de mouiller passablement beaucoup. De la cyprine coulant vers l’intérieur de ses cuisses. Pour m’endormir à ses côtés un peu saoul. Elle qui m’avait fait boire quelques bières avant de l’entreprendre…
Élaine – Hey…(Cognant et ouvrant la porte de la chambre)…T’as finalement dormi ici…
Moi – Désolée Élaine…(Le disant un peu endormi…Complètement nu sous les couvertures auprès de Sylviane)…
Élaine – Tu viens…Il est huit heures…
Apparaissant dans la salle de bain pour aider Élaine à se laver. Toujours impassible faisant comme si il ne c’était rien passé avec son amie. Trouvant la situation particulière même si je découvrais la dame de plus en plus chaude à chaque jour. La pointe de ses gros seins tombant toujours bien dressée. Ne portant de mon côté qu’un sous-vêtement comme à toute les fins de semaine. Sylviane qui au passage m’avait dit qu’elle passerait me chercher chez moi vers 22 heures ce soir. Après avoir souper, discutés puis massé Élaine revenant ensuite chez moi. La dame venant alors m’accoster devant mon logis parental…
Sylviane – Une brève sortie au bar…(Même si je n’avais pas l’âge)…Ensuite on se trouve un endroit pour baiser…
Minuit tapant après avoir bus quelques bières ensemble. Son Honda CRV arrêté dans un coin isolé d’un stationnement de super marché. La madame qui me fit tout d’abord une fellation. Pour ensuite venir me chevaucher farouchement sur la banquette arrière de sa voiture dans la pénombre. Ses petits seins mous frottant contre mon visage à répétition. Les vitrines entrouvertes pour se faire entendre par le voisinage tout près. Complètement nus à mélanger sans égard nos fluides corporels. Réalisant toute son expérience lors de l’accouplement. Sylviane me laissait pour une première éjaculer dans sa fente mouillée. Me disant que je pouvais le faire seulement quand elle prenait contrôle de la situation. Ajoutant que la madame était en instance de divorce depuis peu.
Parlant alors au téléphone avec Élaine un jeudi après-midi…
Élaine – Alors…Tu l’as enfin éduqué…
Sylviane – Oui…Il sait à présent comment fourrer une chatte…On l’a refait plusieurs fois chez moi en après-midi le lundi, mardi et mercredi…
Élaine – J’avais remarquée qu’il semblait beaucoup plus fatigué…Il le fait bien…
Sylviane – Il peut me faire gicler quand il veut à présent…Un vrai marteau piqueur…
Élaine – Heureuse d’entendre çà…
Sylviane – Il est tout à toi maintenant…
Élaine – Merci Sylviane…
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