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Ma femme Sophie se libère ( suite 4)

Ma femme Sophie se libère ( suite 4)



Ma femme Sophie se libère (partie 5)

Après ce week-end exceptionnel qui a vu ma femme Sophie se libérer complètement sexuellement, nous reprenons notre vie de famille tranquille. Tranquille, enfin presque. Tous les matins de la semaine, Sophie me gratifie d’un réveil en douceur avec une superbe fellation. Elle garde mon pénis dans sa bouche jusqu’à me faire éjaculer et avaler mon sperme. La voir boire mon foutre avec tant de gourmandise me fait penser qu’elle semble vouloir compenser un manque, qu’elle souhaite ratt****r toutes ces années où nous avons vécu ensemble et elle a refusé mon sperme.
Quant à moi, je la remercie chaque soir quand nous nous retrouvons dans notre lit. Je la baise sans retenue, son visage enfoncé dans son oreiller pour étouffer ces gémissements et ne pas inquiéter notre fils.
Le vendredi soir pourtant, je choisis de me modérer, je veux être en forme pour le week-end qui arrive et Sophie comprend mes attentes puisque le samedi matin je dois me réveiller tout seul.

Tôt dans la matinée, nous déposons Théo chez ses grands-parents que nous remercions de nouveau avant de prendre la direction de la ville. Nous avons décidé de passer une journée tranquille pour nous. Je vais me garer sur le même parking que samedi dernier, c’est le plus central pour ce que nous désirons faire. Lorsque nous passons à côté du parc, de ce lieu où Sophie a commencé à accepter de se libérer sexuellement, nous échangeons un regard complice accompagné d’un profond baiser. Après ce que nous avons fait ensemble, m’embrasser en pleine rue ne la dérange plus du tout.
Nous nous promenons, déjeunons au restaurant, puis allons faire les boutiques. Je dois reconnaître que comme bien des hommes, je ne suis pas un grand fan de cette activité. Néanmoins, j’apprécie ce moment avec ma femme qui décide de s’offrir des vêtements un peu plus suggestifs et sexy tout en restant pourtant toujours élégant.
Alors que j’ai les bras chargés de sacs, Sophie se retourne et me sourit.
— Encore une dernière boutique. Et celle-ci va te plaire. Beaucoup te plaire.
Je la dévisage un instant sans bien comprendre. Tout devient clair deux minutes plus tard quand nous nous arrêtons devant un magasin de lingerie. Sophie me sourit avant de m’embrasser d’un baiser enflammé et rentre dans le magasin. Elle fait le tour des rayons et récupère une quantité de sous-vêtements impressionnants.
— Tu me donneras ton avis pour chacune des tenues que j’essaierais.
Cette fois-ci, c’est moi qui souris bêtement ce qui fait rire l’une des vendeuses.
Sophie parvient une fois de plus à me surprendre lorsqu’elle me dit de venir pour lui donner mon premier avis. Je passe la tête dans la cabine et je découvre ma femme vêtue d’une culotte en dentelle noire. Elle ne porte rien d’autre. Elle n’a pas de soutien-gorge et expose fièrement sa poitrine ferme et ses tétons dressés.
— Alors ? demande-t-elle en riant tant je dois avoir l’air idiot avec mes yeux exorbités fixés sur sa poitrine. Il met bien mes fesses en valeur ?
Sophie essaie plusieurs positions. Elle se cambre, se penche complètement, serre ses bras contre ou sous sa poitrine. Je n’arrête pas de me voir blotti contre elle, en train de la lécher, de mordiller ses seins. Je suis tellement subjugué par ce que je vois que je suis capable d’articuler qu’un seul mot.
— Jolie.
— Jolie, seulement ? Alors, il faut que j’en trouve un autre, laisse-moi.
Nous sommes au début d’un ballet pour m’exciter. Je perds le compte du nombre de culottes, shorty ou string qu’elle m’expose de façon toujours plus aguicheuse pour avoir mon avis.
Si l’essayage des sous-vêtements est un enchantement, je n’ai pas de mot pour vous décrire celui des soutiens-gorge. Des essais qu’elle fait comme vous l’avez compris la chatte à l’air. Si jusqu’ici j’arrivais à plus ou moins contrôler l’érection dans mon pantalon, quand elle se cambre la première fois et m’expose le galbe de ses fesses rondes, je n’ai qu’une envie, me jeter sur elle et la baiser. La prendre de nuit dans un recoin sombre d’un parc est une chose, le faire en pleine journée dans un magasin en est une autre. Je parviens à me contenir et place les sacs devant moi pour dissimuler mon état.
Sophie finit par porter son dévolu sur une dizaine d’articles. Elle me confit ceux qu’elle ne souhaite pas acheter pour que j’aille les ranger pendant qu’elle se rhabille.
Lorsque je la rejoins, elle sort juste la cabine.
— C’est bon, nous pouvons y aller.
— Tu as oublié l’un de tes achats.
— Non, j’ai tout.
Et Sophie se dirige d’un pas décidé vers la caisse. Je reste un moment interdit, je n’ose pas y croire. Ce n’est tout de même pas sa culotte qu’elle a abandonnée là ? Lorsqu’elle me voit arrivée avec mon air troublé, elle me lance un petit sourire en coin qui fait disparaître tous mes doutes. Elle ne porte plus pour seul vêtement que sa robe bleue.

Comme convenu, nous allons déposer toutes les emplettes de Sophie dans le coffre de la voiture avant d’aller dans un bar en attendant de pouvoir aller au cinéma. Ma femme range minutieusement chacun de ses sacs. De la voir ainsi se pencher plus que de raison me donne envie de vérifier ce qu’il y a ou n’y a plus sous cette robe. Je me saisis du bas du tissu et commence à le relever. Je n’ai rien le temps de voir, car Sophie chasse ma main d’un coup vif. Elle a réagi vite, comme si elle s’attendait à mon geste. Elle se retourne et me regarde d’un air mutin.
— Non, non, on ne triche pas.
Sa réflexion me fait sourire. « On ne triche pas. » Elle aurait plutôt dû s’affoler de s’exposer ainsi en pleine rue, mais visiblement, elle a complètement refoulé ce genre de peur.
Néanmoins, je ne m’avoue pas vaincu pour autant, je souhaite voir sous cette robe. Alors, quand nous nous retrouvons au bar, je me montre excessivement maladroit, je fais plusieurs fois tomber mes clefs, mon sous-verre, tout ça dans le seul but de me pencher pour voir sous la table. Malheureusement, chaque fois Sophie recroise ses jambes. Dès que je remonte, elle les rouvre en grand en me souriant. Son petit manège est une délicieuse torture.

Nous nous retrouvons enfin dans la salle de cinéma. C’est Sophie qui a choisi le film. Même s’il est drôle par moments, je décroche souvent. C’est lors d’un de ces moments où mon esprit vagabonde ailleurs que je repense à ma femme et à sa culotte. Je décide de retenter ma chance de vérifier sa tenue.
Je pose le plus naturellement du monde ma main sur sa cuisse et Sophie reste sans réaction. Sa main se porte pourtant vite à la rencontre de la mienne quand elle la sent remonter vers elle. Elle tente de la retenir, mais je suis plus fort qu’elle et m’insinue sous sa robe jusqu’à atteindre sa vulve qui est comme je le pensais sans la protection d’aucun tissu. Sophie tente toujours de me repousser quand je la sens se figer au moment où je glisse un premier puis un second doigt à l’intérieur de son vagin humide. Elle est visiblement très excitée de se retrouver nue sous sa robe. Je me mets à faire de léger va-et-vient. Sophie se penche alors vers moi pour me chuchoter à l’oreille.
— Arrête ça, je t’en supplie. Tu te rends compte si je me mets à jouir en plein cinéma.
— Tu n’as qu’à te retenir. Et puis nous sommes tranquilles ici.
En effet, les personnes dans notre rangée sont à plus de cinq sièges de nous, les places devant sont inoccupées et seule une personne se trouve derrière.
Mes doigts se mettent donc à fouiller plus consciencieusement l’intérieur de sa chatte pendant que mon pouce s’occupe de son clitoris dressé. Sophie renonce à repousser ma main pour se concentrer et se contenir. Elle cherche à se plonger dans le film, mais sans résultat, je sens son corps trembler sous mes caresses. Sophie lutte de toutes ses forces pour se contenir, elle a les mains écrasées sur les accoudoirs. Par moments, j’entends un son aigu très léger sortir de sa bouche.
J’ai maintenant trois doigts plongés entièrement dans sa chatte et mon pouce toujours sur son clito, j’y vais d’un bon rythme et sans la musique forte du film, on entendrait le clapotis de sa mouille.
Sophie finit par se cabrer au moment du générique de fin. Ses cuisses se resserrent sur ma main et la broient. Elle mord sa lèvre inférieure et se met à taper de façon furieuse les pieds au sol. Elle est emportée par un violent orgasme silencieux.
Sophie reste un moment haletante. Je dégage ma main de sa chatte et porte mes doigts à la bouche. Hum, c’est toujours aussi bon. Nous sommes les derniers à sortir et heureusement, car comme vous pouvez l’imaginer, toute sa mouille ne s’est pas répandue sur mes doigts, l’arrière de sa robe dessine un cercle bleu plus sombre. Malgré l’obscurité qui règne désormais au-dehors, pour ne pas être importuné, je serre Sophie dans mes bras et marche contre en elle en amoureux pour dissimuler sa tache.
Nous marchons ainsi dans la rue pour retourner à notre voiture. Ou en tout cas, c’est ce qu’elle croit, car au lieu de descendre vers le parking, je poursuis encore légèrement notre route pour atteindre l’entrée du parc attenant.
— Tu ne veux tout de même pas ?
— Bien sûr que si. Tu as joui, maintenant c’est à mon tour.
Et comme je le rêvais depuis que nous étions revenus en ville aujourd’hui, j’emmène Sophie jusqu’au lieu où j’avais baisé sa bouche samedi dernier. Je me tiens face à elle et pose mes mains sur ses épaules pour la faire s’agenouiller. Elle me résiste et tente de me convaincre une dernière fois de renoncer.
— On ne peut pas faire ça là. Tu imagines si l’on nous surprenait, si nous étions arrêtés par les policiers le scandale que ce serait. Tu serais contraint de fermer ton agence immobilière et nous devrions déménager. Rentrons à la maison. Nous ferons ça dans le jardin comme l’autre fois, je te le promets. Tu avais aimé ?
— Et je compte bien te baiser aussi dans le jardin, mais d’abord, tu me vides les couilles ici et maintenant. Si tu as peur que l’on nous surprenne, à toi de t’appliquer pour me faire rapidement jouir.
J’appuie alors de toutes mes forces sur les épaules de ma femme qui cette fois-ci ne résiste plus, au contraire, elle semble empressée de suivre mes conseils et de me faire jouir rapidement. Elle ouvre ma braguette, dégage mon pénis déjà bandé de mon boxer et se jette immédiatement dessus en m’avalant tout entier. Sophie me tient fermement par la ceinture pour pouvoir faire des mouvements rapides. Ce qu’elle me fait est génial, la reproduction à la puissance dix de la semaine dernière. Tout y est, même cette ombre que je vois se dessiner. Hein, je crois rêver, ce n’est pas possible. Sans le savoir, nous baisons dans un endroit réputé pour les voyeurs ou quoi ? Mais non, je ne rêve pas, un homme est bien là et nous observe. Un homme qui me donne envie d’exciter un peu plus Sophie.
— Hum, c’est bon ma chérie, mais dépêche-toi. On va finir par nous trouver.
Le réveil de sa peur lui donne du cœur à l’ouvrage et mon gland se met à heurter violemment le fond de sa gorge. Un lieu toujours aussi agréable à visiter et où je compte bien rester. Je pose subitement une main sur la tête de ma femme pour la garder bloquée ainsi.
— Chut, arrête. J’ai cru voir quelqu’un. On nous observe.
Sophie lève des yeux paniqués vers moi et tente de se dégager pour que nous partions, mais je l’en empêche.
— Écoute ? Non, c’est bon, je crois qu’il est parti, mais je vais t’aider à me finir. C’est plus sûr. Il pourrait revenir.
Sophie hoche comme elle peut la tête. Je dépose ma deuxième main dans ses cheveux et je me mets à limer sa bouche comme un fou. J’y vais fort, très fort. Un bruit de clapotis baveux envahit tout le parc. Je prends un pied énorme à baiser sa bouche. Je savoure chacun de mes va-et-vient. Elle me fixe avec des yeux emplis de larmes tant ce que je lui fais est intense, mais malgré ses larmes, je vois dans son regard qu’elle aime ça.
— J’espère qu’il est bien parti et qu’il ne voit pas ce que tu acceptes que je te fasse, sinon il va te prendre pour une vraie salope, une vraie chienne.
Sophie se met à gémir autour de ma queue comme l’autre nuit dans notre jardin, la crainte d’être vue est en train de se changer en excitation. Je continue de lui parler pour entretenir son doute pendant une minute en la limant sans retenue, jusqu’au moment où je me fige au fond de sa bouche. Je pousse un grondement étouffé au moment où je décharge plusieurs grosses giclées de sperme. Elle aspire tout mon jus avec avidité. Je savoure cette sensation de succion pendant un long moment alors que mes jets sont depuis longtemps taris.
Quand je libère Sophie, elle hoquette et tousse, mais je ne lui laisse pas le temps de se remettre.
— Vite. Il faut partir.
Sophie m’obéit comme un patin. Elle se fige et devient soudain livide en entendant un craquement. Elle se retourne et guette les ténèbres sans rien percevoir. Notre voyeur, le vrai, a fait ce bruit au moment de s’enfuir.

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