Il y a quelques semaines ma femme s’est barrée et je n’ai vraiment rien fait pour la retenir. On s’était trop vus, on n’avait plus rien à nous dire et on se disputait tout le temps. Résultat je vivais seul dans un appartement assez grand, je sortais de temps en temps avec des femmes mais rien de sérieux. Un soir de pluie en rentrant bien tard du boulot j’étais à un feu rouge en train de me demander où j’allais bien pouvoir manger quand on a frappé à ma vitre. J’ai sursauté et vu une jeune femme qui me souriait timidement. Je baissais ma vitre pour écouter ce qu’elle voulait. Elle me dit alors qu’elle était à la rue et que si je pouvais l’aider avec un peu d’argent ou un ticket restaurant ce serait le bienvenu.
Elle avait l’air super fatiguée et faisait des efforts pour paraître souriante.Je lui ai dit que je n’avais ni l’un ni l’autre mais que je serais ravi de diner avec elle dans la brasserie de l’autre côté de la rue.
– Le temps de me garer dans la place là et on se retrouve devant ok ?
Elle est restée complètement estomaquée, sans voix.
– Vous savez, vous n’avez rien à perdre. Je me gare et on mange ensemble au chaud. Je suis sûr que cela nous fera du bien.
Elle a hoché la tête toujours sans rien dire. Je suis allé me garer et deux minutes plus tard j’étais devant la porte du restaurant. Elle n’avait pas bougé de son poste devant le feu rouge et regardait dans ma direction. Je lui fis signe de me rejoindre, elle hésitait visiblement. Je recommençais mais elle ne bougeait toujours pas. Je suis donc rentré dans le restaurant et j’ai demandé une table pour deux pas trop loin de la porte et contre la vitrine. De cette façon je pouvais voir si elle allait venir et elle pouvait voir que j’étais bien là dans le restaurant. J’examinais la carte avec pus d’attention que nécessaire pour lui donner le temps de venir si elle en avait envie. Au bout de cinq minutes elle est entrée timidement dans le restaurant avec un énorme sac à dos sur l’épaule. Je me levais, la débarrassait de son sac et de son anorak avant de l’inviter à s’asseoir. Une fois installée je lui tendis la carte et l’invitait à prendre ce qui lui ferait plaisir. Nous avons attendu les plat dans un silence un peu gêné mais, peu à peu nous avons commencé à discuter. A la fin du repas le ton était cordial des deux côtés et nous passions une bonne soirée. Valentine, m’expliquait comment elle avait perdu son job puis son mec et finalement son appartement. Depuis un mois elle vivait dans la rue et l’hiver arrivait à grands pas. Elle avait déjà eu le temps d’échapper de peu à des agressions. Quand je regardais cette jeune femme assise en face de moi avec ses cheveux bruns et longs, son sourire timide et ses grands yeux verts emplis de mélancolie je me sentais poussé à l’aider du mieux que je pouvais. Nous avions bu une bouteille de rouge à nous deux et bien mangé. Elle me disait être parfaitement rassasiée et ne plus rien vouloir. quand nous sommes sortis dans le froid et sous la pluie l’idée m’est venue d’inviter Valentine à rester quelques temps à la maison histoire de se retourner. Je lui fis part de mon idée qu’elle refusa tout net. elle ne voulait pas me déranger, être une gêne pour moi.
Je lui ai dit que j’avais une chambre libre dans laquelle elle pourrait s’installer pendant quelques semaines le temps de chercher un logement à elle, de faire des demandes d’aide..;
Formulée comme ça ma proposition lui paraissait moins irréelle. Elle a donc accepté. Nous avons donc pris la voiture et sommes rentré chez moi.
Là je lui ai montré l’appartement et l’ai aidé à faire son lit. Je lui ai ensuite donné des serviettes, un peignoir de bain et lui ai dit de faire comme chez elle.
Au petit matin je me suis levé et préparé pour aller au travail. Je lui ai laissé les clés avec de un peu d’argent et un petit mot lui disant de faire comme chez elle et que je rentrais vers 19h. Je lui ai aussi donné mon numéro de téléphone pour qu’elle m’appelle en cas de besoin.
Je suis parti ensuite en me demandant tout de même si je n’allais pas retrouver mon appartement vidé ou saccagé ou les deux.
Quand je suis rentré j’ai trouvé mon appartement bien plus propre que le matin. Valentine était dans la cuisine en train de préparer le diner. Pendant que nous mangions ce qu’elle avait préparé elle m’a raconté sa journée avec une voix bien plus gaie que la veille au soir. Reposée, lavée, nourrie elle se sentait revivre. Pendant qu’elle parlait je la regardais et je me suis rendu compte qu’elle était bien plus mignonne que je ne l’avais vu hier. En particulier, j’avais du mal à détacher mon regard de sa poitrine moulée dans un pull. Elle devait faire un bon 95E. Le rêve… Quand elle s’est aperçue que je matais copieusement ses gros seins, elle s’est mise à rougir jusqu’à la racine des cheveux.Je me suis levé et j’ai commencé à débarrasser la table sans plus la regarder. J’ai fais la vaisselle tout en continuant à lui parler comme si de rien n’était. Dix minutes plus tard je suis allé me coucher.
Le lendemain étant un samedi je comptais bien faire une grasse matinée. Pendant que je m’endormais j’ai entendu la baignoire qui se remplissait. Je me suis ensuite laissé totalement glisser dans le sommeil. La nuit était remplie de rêves érotiques, je flottais comme sur un nuage et ressentais une chaleur brûlante contre mon corps. Il m’a fallu pas mal de temps pour comprendre que cette chaleur ne venait pas de mes rêves mais d’un corps collé contre le mien. Valentine était dans mon lit et caressait doucement ma queue, dure comme du bois comme tous les matins. Comme je commençais à lui demander ce qu’elle faisait, elle mis son doigt sur ma bouche et me dit :Je vous remercie de ce que vous faites pour moi.Et sans attendre elle se glissa sous les draps et commença à me lécher le gland. J’étais surpris mais aussi ravi. Une bonne pipe dès le matin c’est le signe d’une bonne journée. Je lui ai demandé de venir au dessus de mon visage pour que je puisse la lécher. Ce qu’elle fit sans délai et j’eu la bonne surprise de constater qu’elle s’était rasé complètement avant de venir se glisser dans mon lit. Je mordillais son clitoris, la léchais longuement depuis sa rondelle jusqu’au clitoris, essayait de la baiser aussi loin que possible avec ma langue pendant qu’elle enfonçait ma queue au fond de sa gorge. Je n’avais jamais été sucé avec autant d’ardeur. Tout en allant et venant le long de ma queue elle me caressait les couilles voluptueusement. J’insistais sur son clitoris, le mordillait pendant que je glissait un doigt dans sa chatte trempée et poussait doucement mon pouce dans sa rondelle. La chambre se remplissait de nos grognements et de l’odeur de nos ébats. Comme je redoublais d’efforts sur son bouton d’amour elle se mit à trembler de tout son corps et a joui dans ma bouche en poussant de petits cris. Je n’ai pas attendu bien longtemps avant de perdre tout contrôle à mon tour. Je l’ai prévenue mais elle a continué à téter mon gland comme un affamée. J’ai donc joui longuement dans sa bouche brûlante en poussant un long râle de plaisir.
Elle a gardé ma bite dans sa bouche jusqu’à ce que je débande complètement. Pendant que nous reprenions notre souffle je caressais son impressionnante poitrine tout en lui disant que j’tais ravi de ce qui venait de se passer mais qu’elle n’avait pas besoin de se sentir obligée. Je l’hébergeais pour lui venir en aide pas pour avoir une esclave sexuelle à demeure.
Elle me répondit que c’est bien parce qu’elle ne s’était sentie obligée de rien qu’elle avait voulu me remercier de la sorte. Elle me précisa qu’elle ne sentait pas une esclave sexuelle mais qu’elle aimait se soumettre aux désirs des hommes. Je lui pinçais alors doucement les tétons en lui disant : tu n’as donc rien contre mon envie de baiser tes gros seins une fois que tu m’auras sucé jusqu’à ce que je bande à nouveau ?
Elle sourit en répondant : Non bien sûr monsieur, avant de prendre ma queue encore molle en bouche. Deux minutes plus tard j’étais raide comme la justice. Je l’ai fait s’allonger sur le dos et je me suis assis à cheval sur son torse, Ma queue couverte de salive bien au chaud entre ses gros seins chauds et doux. Chaque fois que mon gland s’approchait de ses lèvres elle lui donnait un coup de langue. J’étais aux anges. Au bout de quelques temps je me suis dit que ce dont j’avais vraiment envie c’était de la baiser dans tous les sens. Je lui ai donc dit de se mettre à quatre pattes. Je suis passé derrière elle et j’ai entrepris de lui bouffer le cul, la chatte comme un possédé. Elle grognait, gémissait sous mes coups de langue. Je me suis ensuite redressé et je l’ai enfilée d’un coup jusqu’aux couilles. Elle était brûlante, trempée et bien serrée. Je l’ai empoignée par les seins et je lui ai baisé la chatte longuement en lui pinçant les tétons. Elle scandait mes coups de queue par des petits cris, des oh oui…
Après quelques temps j’ai lâché ses seins et j’ai posé mon pouce sur sa rondelle avant de l’enfoncer lentement. Je la tenais par le cul et la hanche et je sentais mon pouce avec ma queue, la sensation était très excitante. Valentine semblait aux anges et mouillait énormément en grognant sans cesse.
Tes grognements m’excitent trop je vais t’enculer à présent. En prononçant ces mots je me retirais complètement de tous ses orifices et plaçais mon gland contre son cul offert. Pour toute réponse, elle pris ses fesses à deux mains et les ouvrit largement. Je n’avais plus qu’à l’empaler. Ce que je fis lentement, doucement mais sans m’arrêter avant que mes couilles ne touchent sa chatte. Son cul était merveilleusement serré et le long feulement qu’elle a poussé tout le temps où je m’enfonçais en elle m’a excité au delà de tout.
Une fois bien au fond de son joli cul j’ai commencé à la baiser avec des mouvements amples, de plus en plus rapides. Elle avait mis deux ou trois doigts dans sa chatte et se branlait pendant que je la limais. Quand elle a joui elle a serré tellement fort ma queue avec son cul que j’ai joui à mon tour, inondant son cul de mon foutre chaud.
Quand nous avons fini de jouir l’un et l’autre nous sommes restés l’un dans l’autre et nous nous sommes endormis comme ça.
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