Safia et Sana comptaient parmi mes élèves de deuxième professionnelle. Deux beaux brins de filles venus du Maghreb en pleine adolescence et épanouissement.
Elles ne s’intéressaient que fort peu à l’école et ne possédaient même pas certaines connaissances de bases. Mais j’aillais découvrir qu’elles étaient douées dans d’autres domaines…
Elles avaient toutes deux la peau halée et les cheveux noirs. Deux belles plantes en devenir…Elles découvraient leur corps et aimaient à le mettre en valeur : maquillage, jupes parfois et surtout pantalons slim, moulant leurs jambes du mollet aux cuisses..
Elles portaient des haut mettant en valeur d’autres formes galbées. Elles étaient inséparables, assises l’une à côté de l’autre, pouffant sans arrêt, un sourire pendu en permanence à leur lèvres charnues.
Safia semblait particulièrement en chaleur avec les garçons, les aguichant sans cesse.
Je ne pouvait m’empêcher d’admirer leurs formes et leur beauté qui faisait naître en moi quelques fantasmes. Les deux filles devaient également aimer la lingerie, car j’aperçus furtivement un jour un string noir dépassant du pantalon de Sana, en partie dissimulé par son collant noir. Mon esprit ne cessa plus alors de vagabonder, sans se douter que tout cela allait devenir réalité…
Tout commença lors d’un cours anodin, ou mon autorité était encore mise à rude épreuve. Tentant de rétablir l’ordre, je vis que Sana et Safia s’amusaient à voir laquelle des deux dégrafait la première le soutien gorge de l’autre. La main de Sana glissée sous le pull de Safia réussi son pari. La vision de ses deux filles collées l’une à l’autre, et se touchant ainsi, provoqua en moi une excitation incroyable. Mais le cours devait reprendre.
Je les convoquais après la journée de cours en classe, étant leur titulaire. Je leur demandai si elles mesuraient bien la portée de leur comportement. Safia sourit et me regarda dans les yeux en me disant : ça ne vous à pas plu ? Sana ajoutant à cela : on cherchait juste à mieux se connaitre..
Troublé, je ne savais que dire, sentant de plus une érection se profiler dans mon pantalon…
Sana s’approcha de moi, s’asseyant sur mon bureau, vit la bosse et me dit : monsieur, vous ne voudriez pas nous donner votre avis ?
Sur quoi ? Demandais-je. Mais sur notre façon de nous donner du plaisir…je ne savais plus que faire…avant que je puisse répondre Safia avait rejoint Sana et l’embrassait à pleine bouche, leurs mains courant sur leurs corps, se palpant les fesses et la poitrine.
Sana laissa glisser son pantalon, se cambrant vers moi, en string noir et collant. Safia ayant elle enlevé son pull se trouvait en soutien gorge. Sana fit sortir ses tétons et se mit à les lécher langoureusement, la langue titillant les mamelons dressés de sa copine. Les gémissement de ces filles accentuèrent mon érection.
Safia fit glisser le string et le collant de Sana. Les deux filles vinrent s’assoir devant moi, nues, les cuisses écartées et leurs sexes ouverts, mouillés et désirables. Chacune se mit en devoir de satisfaire l’autre : leurs doigts s’agitaient rapidement, s’enfonçant, caressant, doigtant ses vulves ardentes.
Lèche moi, demanda Sana. Safia se mit à 4 pattes devant elle, le cul cambré devant moi, s’agitant au rythme des coups de langue de sa propriétaire. Sana la tête en arrière me regardait en souriant tout en goutant son plaisir. Moi je regardait le cul de Safia fasciné. Sana me dit : allez y monsieur, elle en meure d’envie…
je perdis pied et me jetait près de Safia attrapant ses fesses si convoitées, pour les embrasser, les lécher, les pétrir. Je regardait son anus plus foncé qui s’ouvrait doucement, lubrifié en partie par la mouille du sexe voisin. Je décidais alors de prendre les choses en main.
Sana je veux que tu lèche le cul de Safia, c’est un ordre.
Bien monsieur…Safia couchée sur le bureau sur le ventre écartait ses cuisses et ses fesses rebondies. Je vis Sana caresser le sexe de Safia puis lécher son doigt. Elle passa ensuite sa langue dans la raie du cul de Safia, tout en lui doigtant le sexe. Sana enfonça sa langue dans l’anus de sa partenaire, comme un mini pénis. Safia semblait complètement en transe, murmurant des choses en arabe.
Sana enfonça un doigt dans le cul de Safia, faisant des va et viens, puis un deuxième dans ce cul bien lubrifié. L’anus de Safia s’ouvrait de jouissance. Sana posa sa main sur son cul à elle pour satisfaire ses propres envies : elle se mit à se caresser l’anus, s’enfonçant sans attendre deux doigts entre les fesses.
Ces deux filles adoraient le sexe anal !
Elles me regardèrent et me dirent : ça vous étonne, hein ? C’est parce qu’on veut rester vierge jusqu’au mariage, alors on pratique le sexe anal, qu’on aime de plus en plus…
Sana attrapa son grand sac, en sortant sa brosse à cheveux. Crachant sur la raie de Safia, elle la lubrifia bien avant de lui enfoncer le manche dans le cul, entamant des allez retours violents qui firent crier Safia de plaisir…
Je perdis le contrôle : sortant ma queue en érection, je me présentait devant Safia, en lui plaçant devant la bouche. Elle comprit et goba mon pénis, le suçant avec ardeur. Voir ces lèvres charnues s’activer comme cela sur mon vit me fit disjoncter et j’éjaculai brusquement sur son visage. Sana se pencha, travaillant toujours le cul de Safia, pour lui nettoyer le visage. Ma queue encore raide, je fit le tour de la table pour agripper le cul de Sana. Je me mis à lui lécher la raie, passant ma langue entre ses deux globes et investissant son anus. Un fois qu’il fut bien lubrifié, je saisi ma queue et la présentai à l’entrée de son cul pour la pénétrer brusquement, ce qu’elle sembla apprécier.
Ma queue gagna centimètre par centimètre, mes mains plaquées sur ses fesses rondes qui finirent par claquer contre mon ventre, une fois ma queue bien au chaud. Je lui défonçait l’oillet comme jamais personne avant moi. Elle criait de plaisir, s’empalant sur ma queue. Gardant ma bite en elle, je me couchait sur le bureau, pour que Safia place son sexe sur ma bouche. Je me mis à lécher sauvagement son sexe. Sana sur ma queue, Safia sur ma bouche, s’embrassaient à pleines bouches, se tripotant les seins.
L’orgasme anal atteint par Sana, Safia pris sa place, laissant la sienne à Sana. Le cul de Safia était plus étroit, elle s’empala sur ma queue millimètre par millimètre, la douleur laissant place au plaisir de se faire défoncer par une queue véritable et pas par un manche de brosse.
Sana ayant joui, je me relevai, portant Safia toujours empalée sur ma queue, la plaquait contre le tableau, pour mieux la ramoner à fond. Sana s’agenouilla pour lui mettre le manche de brosse dans le sexe. Safia prise par son cul et son sexe, tremblait de plaisir et ne tarda pas jouir.
Pour moi, je pris encore Sana dans son cul, la pilonnant jusqu’à remplir son anus de sperme qui dégoulinait. Mais Safia prit encore plaisir à le nettoyer, ainsi que ma queue.
Nous nous sommes vite rhabillés, après que le leur ait confisqué leur string pour la peine…
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