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un soucis financier (8)

un soucis financier (8)



Ma femme me faisait ouvertement la gueule et m’en voulait terriblement. Déjà que je la trompe, mais en plus, avec sa soeur. Elle n’arrivait pas à comprendre. Et sa soeur et moi ne lui avons rien révélé des arrangements financiers qui avaient eu lieu. On en était quand même à plus de 10.000 euros. Et Amalia se faisait également assez discrète, elle n’avait plus téléphoné à la maison depuis cette fameuse journée.
Comme je ne disais rien, elle me menaça un soir de partir (elle avait préparé une valise) et d’aller chez ses parents. Et comme je restais de marbre, elle se dirigea en trombe vers la porte.
Cela dura une semaine. Mon beau-père m’appella pour savoir ce qu’il s’était passé. Je racontais une histoire, pour dédramatiser. Ma femme ne lui avait rien dit.
De mon coté, j’avais dit à Amalia de venir à la maison, s’installer quelques jours. Elle était bien entendu au courant de la dispute (ses parents l’avaient appellé pour le lui dire, mais ils ignoraient evidemment qu’elle en était en partie responsable).
Amalia arriva donc le lendemain du départ de ma femme, avec un sac de sport dans lequel elle avait pris quelques affaires. Elle me demanda combien de temps je voulais qu’elle reste.
– Jusqu’à ce que tu te trouves un travail et que tu m’ais remboursé.
Je pris son sac et me rendis dans la chambre. Là, je lui demandai de tout sortir et de s’installer. Elle ouvrit son sac et posa sur le lit quelques t-shirts, un pantalon de survetement, et une robe, puis trois culottes et deux soutiens gorges.
– Je pense que tu resteras plus que trois jours, fis-je avec un demi sourire à Amalia, en prenant ses culottes et en les ouvrant devant moi l’une après l’autre.
– Je n’avais pas prévu… Et puis j’ai un entretien d’embauche demain à 14h.
– Je t’y amenerai. C’est où ?
– Vendeuse, dans une parfumerie, dans la galerie du centre commercial.
Je sortais ma queue de mon pantalon et commençait à me masturber en enroulant une de ses culottes noires en dentelle autour du sexe.
– Range tes affaires dans le placard de ma femme. Tu peux utiliser ses penderies aussi. Et tu peux mettre ses affaires aussi.
Amalia ouvrit la grande penderie de la chambre, et contempla toutes les affaires de Solange. Il y avait beaucoup de robes de marque, de tailleurs, de jupes. Amalia rangea ses t-shirts dans un coin de la penderie, puis sa lingerie à coté, mais je lui ouvrit le tiroir de la lingerie de Solange.
– Range tes culottes avec les siennes.
Je me branlais un peu plus fort, tandis qu’Amalia continuait de s’installait. Je fouillais un peu le tiroir de Solange et en sortit une culotte rose et noire très transparente.
– Tu as des plus gros seins que ma femme, mais essaie la culotte, je pense qu’elle doit t’aller.
Amalia prit la culotte de sa soeur, baissa son jean, qu’elle retira en s’asseyant sur le bord du lit. Elle baissa sa culotte, que je recuperais aussitot, et enfila la culotte de sa soeur.
Je ne pus me retenir de porter sa culotte devant mon visage, et l’ouvrir pour en voir de jolies traces humides, que je me mis à lécher.
Amalia se leva, la culotte lui allait parfaitement, et l’on voyait distinctement sa touffe au travers.
– Elegante et sexy, ça te va très bien. Enlève le haut.
Amalia s’executa, retira son sweet, devoilant un soutien gorge noir, qu’elle retira aussi, pour mettre à nu ses seins généreux. Je posais ses culottes sur le lit, arretant de me branler, et je m’approchait d’elle, le sexe gonflé.
Sans prévenir, je lui donnais une gifle sur le sein droit, ce qui fit gigoter toute sa poitrine. Elle me regarda avec étonnement et un peu de douleur dans les yeux. Je lui donnai une autre gifle, sur l’autre sein.
– hey ! fit-elle.
Je lui donnai une gifle sur sa joue droite, qui claqua assez fort. Amalia ne put retenir quelques larmes. Mais elle se ressaisit rapidement.
– Je veux que tu nettoies la maison. Que ce soit nickel.
– Pardon ?
Je levais la main et Amalia recula d’un pas en fermant les yeux. Ma main claqua fort sur son sein droit et ce fut à nouveau toute sa poitrine qui gigota de gauche à droite. Je lui saisis le mamelon endolori de son sein droit, et commença à le pincer fort. Le visage d’Amalia se crispa, elle me demanda d’arrêter, puis comme je continuais, se mit à m’implorer dans sa voix.
– Ils sont tellement bons tes seins… lui dis-je en lui carressant à présent la poitrine. Je me baissais pour lui lecher et lui embrasser les seins. Puis, je me redressai, et lui fit :
– Tu trouveras les ustensils de nettoyage dans le cellier à coté de la cuisine. Et je veux vraiment que tout soit propre.
Je m’éloignais, laissant Amalia, toujours aussi circonspecte et surprise, retrouver ses idées dans la chambre. Je m’installais dans le salon et allumait la télé. Je décidais de me mettre un DVD. J’entendais Amalia aller en direction du cellier, il y eu quelques bruits de placards qui s’ouvrent et se ferment, d’un seau qui se remplit d’eau et elle brancha l’aspirateur.
Je mis mon film sur pause et me leva. Amalia s’était mis un tshirt et un pantalon de survetement, et passait l’aspirateur dans le couloir qui amenait à la chambre. Je débranchais l’aspirateur de la prise et il s’éteignit aussitôt.
– Approche.
Amalia me regardait avec une certaine crainte. Elle approcha d’un pas, puis d’un autre. Je fis un mouvement de la main et elle ferma les yeux et eut un mouvement de recul. Je mis ma main dans la poche et lui demandant d’avancer encore. Ce qu’elle fit.
– Pourquoi tu t’es habillée ?
– Je vais pas le faire en culotte ? non ?
– non… tu vas le faire à poil. Enlève tout ce que tu portes. Immediatement.
Amalia posa l’aspirateur, et retira son t-shirt (elle n’avait pas remis de soutien-gorge), ainsi que son pantalon. Elle avait gardé la culotte de Solange, qu’elle enleva également. Elle posa tout par terre. Elle avait vraiment un corps de fou, et ça me faisait bander de la voir ainsi soumise.
– Je suis en train de regarder un film et je n’entends rien avec l’aspirateur. Alors utilise ton cerveau et passe le balai.
Je m’approchais d’elle et passait ma main dans la toison de sa chatte. Doucement, je me mis à la carresser, à faire tournoyer mes doigts sur son clitoris. Je la regardai avec insistance dans les yeux tout en faisant tournoyer mes doigts de plus en plus vite. Sa chatte emettait de petits bruits mouillés, et Amalia se mit à gémir doucement.
– Tu attends quoi ? va chercher le balai.
Amalia s’éloigna doucement, en direction du cellier. Elle était encore un peu perdue et confuse, me jeta un regard en arrière un peu interrogateur, surprise que l’on s’arrête aussi soudainement. Elle entra dans le cellier, puis réapparut à l’autre bout du couloir.
– continue de te masturber.
Amalia fit quelques pas vers moi, le balai à la main, et passa son autre main entre ses cuisses. Elle se mit à se masturber, tout en marchant vers moi.
– j’entends rien…
Amalia accelera la cadence de ses doigts, se masturbant fort, et je pus entendre à nouveau le petit bruit mouillé de sa chatte.
– allez, passe le balai, comme je te l’ai demandé.
Amalia prit le balai de deux mains et commença à le passer de le couloir. Je m’éloignais d’elle en direction du salon. Je me réinstallais dans le canapé, et regardait mon film jusqu’au bout, sans faire attention à ce que faisait Amalia.
Lorsque je revins, environ une heure et demi après, dans le couloir, Amalia avait aéré les pièces, passé le balai et la serpière, et faisait la poussière dans la chambre d’amis. Comme elle était nue, elle avait tiré les rideaux pour que personne ne la voit de l’exterieur.
– Tu en es où ?
– J’ai fait les chambres, la cuisine, je vais faire la salle de bain, j’ai deja aspergé le lavabo et la baignoire, je laisse agir.
– ok… continue, et change moi les draps du lit aussi. Tu as rangé la vaisselle aussi ?
– Oui, c’est fait.
Je repartais dans le salon, la laissant à sa corvée, et je devais bien avouer qu’elle avait fait ça soigneusement, l’appartement sentait le propre, et tout était bien ordonné là où elle était passée.
Vers 18h, mon téléphone portable sonna et je vis que c’était ma belle mère qui m’appelait. Avant de décrocher, j’appellais Amalia, qui me rejoint au salon.
– C’est ta mère, suce moi.
Je décrochais le téléphone et prit une voix à la fois atristée et reconnaissante.
– C’est tellement gentil de m’appeller. Comment va Solange ? Je n’ai pas de nouvelle.
Tandis que je parlais, Amalia s’agenouillait devant moi, et prenait ma queue dans sa bouche. Elle se mit à me sucer, et je devins raide presque aussitot.
– Vous savez, je dois vous dire, j’ai beaucoup de respect pour vos filles, elles sont très bien éduquées, ça se fait si rare. J’aimerai tellement que Solange revienne à la maison. Elle vous dit quoi ?
Tandis que ma belle-mère me répondait en me disant que Solange était très distante, ne leur parlait presque pas, n’avait pas expliqué la raison de la dispute, j’appuyais la tête d’Amalia pour qu’elle prenne ma queue d ans la bouche jusqu’à la garde.
– Nous les avons élevé avec amour, me disait ma belle-mère. Solange et moi formez un beau couple, je ne comprends pas pourquoi elle s’est mis bille en tête que ça n’allait plus. Elle en se rend pas du tout compte de la chance qu’elle a d’être avec quelqu’un comme toi, qui a une bonne situation en plus. Et Amalia, je m’inquiète un peu aussi, elle a fait beaucoup d’études, mais elle ne trouve pas de travail.
– Je dois accompagner Amalia demain à un entretien d’embauche. Elle a tellement de potentiel. Je vais essayer de l’aider et la motiver.
Je faisais signe à Amalia de s’allonger dans le canapé, et rapidement je m’installais entre ses jambes. Je frotta mon gland sur sa chatte quelques instants, puis plongea ma queue à l’interieur.
– C’est tellement serviable de ta part, fit ma belle-mère. Amalia a toujours été une fille brillante, c’est tellement gentil à toi de l’aider et de l’accompagner.
– C’est bien naturel, fis-je en crachant mon foutre à l’interieur de la chatte d’Amalia.
Cette dernière fut surprise que je vienne si vite, en fait je n’avais cherché qu’à me vider les couilles. Je m’asseyais confortablement dans le canapé et attrapa la tête d’Amalia pour la conduire vers ma queue. Elle prit ma queue ramolie et pégueuse dans sa bouche.
– Tu ne sais pas où elle est d’ailleurs ? J’ai téléphoné chez elle mais elle ne m’a pas répondu de l’après-midi, fit ma belle mère.
– Aucune idée, dis-je en me mettant à pisser fort. Amalia se prit un long jet directement dans la bouche qu’elle cracha en faisant une longue grimace. Essayez de l’appeler sur son portable peut etre.
– Oui, tu as raison, je vais essayer tout à l’heure. Ecoute, je t’embrasse, et j’espère que l’on se reverra bientôt.
– Oui, passez le bonjour à votre mari, et embrasser ma femme, et Amalia, de ma part.
Je raccrochais et regarda fixement Amalia.
– Prends ma queue dans ta bouche.
Le visage ruisselant de pisse, Amalia avait les yeux rougis, elle se sentait dégradée, mais en plus, cela lui brulait les yeux. Elle se pencha doucement, et dès qu’elle eut encerclé de ses lèvres ma queue dans sa bouche, je lachais un nouveau jet de pisse.
– Bois, pute, bois.
Amalia me regardait en pleurant franchement, je pissais dans sa bouche et l’urine coulait à flots entre ses lèvres et ma queue. Je pissais de plus belle sans discontinuer, et ma pisse coulait le long de son cou, puis sur ses seins, pour ruisseler le long de son corps, et couler par terre.
– Bois putain tu en fous partout !
Je plaquais le visage d’Amalia contre moi tout en urinant dans sa bouche. Elle respirait difficilement par le nez, et comme je pissais dans sa gorge, elle ne put s’empêcher de s’avaler une rasade, et elle toussa aussitôt. Je sortis ma queue de sa bouche et m’eloignais d’un pas. Elle toussait et toussait encore, essayait de cracher mais trop tard, elle avait avalé. Je lui pissais sur le corps et la tête, mais là ma vessie était quasi vide. Je finissais les dernières gouttes, et je me rassis dans le canapé, en souriant. Amalia ne bougeait pas, elle toussait toujours un peu, et me lança un regard rageur et mécontent. Son téléphone portable se mit à sonner dans son sac, posé sur la table du salon.
– Tu devrais répondre, c’est ta mère je pense, elle se fait du soucis.
Amalia se leva et se dirigea, nue et ruisselante, vers son sac. Elle le fouilla et en sortit son téléphone.
– Allo? Oui bonjour maman… Oui, ça va, ne t’inquiète pas… Je ne suis pas chez moi non… Heu… Je suis chez une amie… Non, non, ne t’inquiète pas, je vais bien…
Je m’approchais un peu pour écouter ce que disait ma belle mère comme conneries. Elle parla evidemment de l’entretien du lendemain, et du fait que j’allais l’accompagner.
– Tu sais, il est vraiment très gentil avec toi, j’espère que tu t’en rends compte, fit ma belle-mère. Sois gentille avec lui toi aussi.
– Ne t’inquiète pas, fit Amalia en toussotant encore un peu.
– Qu’est ce qu’il y a ? Tu as pris froid ? demanda ma belle-mère.
– Non, j’ai avalé quelque chose de fort … C’est rien.
Je m’approchais encore d’Amalia et me pencha vers son autre oreille.
– Branle toi. Fais toi jouir avec ta mère au téléphone.
Amalia était dépassée par toutes mes demandes et je pense que le fait que je lui urine dessus l’avait completement choquée et bloquée. Je passais mes doigts dans sa toison et me mis à lui masturber vite le clitoris. Mon sperme avait coulé durant ce temps de sa chatte sur son entrecuisse. Sa moule était toute pegeuse et sentait fort. Je lui masturbais tout ça très fort, glissant par moment mes doigts dans sa fente, les ressortant avec mon foutre dessus. Elle garda son calme au téléphone en serrant parfois ses cuisses, mais je les lui écartais de plus belle pour la masturber encore plus fort.
– Tu es sure que ça va ? Je te sens vraiment bizarre, fit sa mère.
– Oh maman… fit-elle en tentant de se retenir tant qu’elle pouvait, mais un énorme orgasme la traversa. Elle éloigna le téléphone de sa bouche, fit un long soupir de satisfaction, sentant sa chatte exploser.
Je m’éloignai en me léchant les doigts. Je regardais Amalia, debout, dégouinante de pisse, les cuisses couvertes de foutre qui coulait de sa chatte, et son regard encore rougi de l’orgasme qu’elle venait d’avoir, en train de continuer de parler au téléphone avec sa mère.
Et ça ne faisait que commencer dans sa soumission.

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