Année 2007.
J’étais en manque et ne cessait de me masturber toujours par le fait de voir des pompiers quotidiennement lors d’incendies ou autres voulant emmener les personnes en détresse. C’étais mon cas et cela était très original de la part de ces Dieux du feu ou s’occupant de mes soins.
En effet, le fait de voir des jeunes hommes, sapeurs-pompiers, ou matures venir en urgence me donnait l’envie d’en rencontrer plusieurs et la journée, à la caserne de…. a été exceptionnelle car des volontaires réservistes avaient le temps pour blaguer.
Ainsi, au cours de litiges privés, je décide de partir faire un tour et d’aller m’isoler dans une zone d’activités pour fumer une cigarette mais zut… J’étais en manque de tabac et les buralistes étaient fermés ce soir-là. C’est alors que je décide de me rendre vers un lieu mais j’ignorais que c’était la nouvelle caserne construite depuis peu. J’ai stationné mon véhicule juste devant le parking et je suis allé frappé à la vitre et je me suis aperçu qu’effectivement un homme en tenue de sapeur m’avait demandé l’objet de ma visite.
Je lui ai dit :
– Excusez-moi, monsieur je à court de tabac, n’y aurait-il pas de buralistes ouverts dans cette ville?
Le sapeur :
– Monsieur, retirez votre véhicule car c’est très dangereux de le stationner, vous savez que c’est une caserne?
– Je le retire immédiatement, monsieur lui dis-je.
Le sapeur me retient et me dit ensuite :
– Pour la cigarette, je vais voir avec mon collègue. Mettez votre voiture en face dans le parking libre, je vais voir si lui peut vous en offrir une.
– Monsieur, c’est gentil, si vous voulez, je vous la paie, lui dis-je en contrepartie.
Le sapeur appelle un de ses collègues :
– V…. monsieur est en manque de tabac, si tu peux lui en offrir une.
L’autre sapeur me dit d’entrer sans problème et me demande l’objet de ma présence tardive dans cette zone où les heures sont creuses.
– Monsieur, voilà, je me suis déplacé car même dans ma ville, tout est fermé. Je suis venu accidentellement ici car je ne passais plus ici depuis un certain temps, et la route a changé. Excusez-moi pur cet incident.
Le sapeur :
– Voilà, la cigarette et ne fumez pas comme un pompier, dit-il en plaisantant.
– Monsieur, merci mais le cigare est encore mieux car il est moins goudronné.
Le sapeur se met encore à rire et son collègue pour mieux rendre les affaires humoristiques se mettent à dire :
– Vous savez, lors des douches, nous en avons de gros qui sont juteux.
Cela me faisait réagir et je leur dit :
– Et vos cigares sont longs et gros?
Les deux sapeurs :
– La chose t »intéresse? Au fait, ta femme ou ta copine ne s’inquiète pas?
– Eh non , messieurs, regardez si l’alliance ou si par hasard, l’hôtel de ville était ouvert, les registres mentionnent bien un mec non marié et avec sa famille qui me laisse sortir le soir pour boire un café ou…
Le sapeur me dit :
– Vous êtes comme moi alors, un homme qui déteste les femmes?
– Oui, mais qui aime le gros cigare que vous m’avez dit.
– J’ai compris, dit le pompier mais tu es vraiment un mec très sympa, au fait nous regardons souvent les films ici car nous avons la télé et les DVD d’un style particulier et si tu peux, fais comme tu veux.
Je leur réponds :
– Choses merveilleuses et avant ou après le film?
Après proposition, j’accepte de rester en leur compagnie et après avoir bu un peu, ils se mettent à me demander :
– Cela ne te gène pas de…
– OK , j’ai compris, enlever vos tenues et moi-aussi j’enlève tout si vous avez le temps.
Les sapeurs :
– Si bien , y a pas le feu.
C’est alors que ces deux hommes de 50 ans, décident de me montrer leur lieu tranquille et un matelas assez commode utiliser leurs lances.
D’abord, l’un d’eux me prend dans ses bras costauds et me met dans le matelas : puis se met à me lécher avec sa langue ma petite verge qui progressivement se met à bander à force de lécher plus rapidement et l’autre y participe aussi, la barbe piquante. Bref, deux langues pour me chatouiller. Cela me faisait frissonner et je ne cessais de gémir : le fait de me lécher dura un quart d’heure.
– A chacun son tour, me disent-ils.
Je prends leurs deux phallus et me met à lécher leurs glands pour un quart d’heure en leur faisant comprendre que c’était alors cela leur moyen de secourir les personnes.
Ils pouffaient de rire, bien entendu, la boisson les rendait conscients en raison de leur caractère assez compréhensifs.
Enfin, ils me demandent si je peux faire l’homme Sandwich : moi entre ces deux hommes, à savoir que l’un introduisait sa verge dans mon anus et l’autre me défonçait et était en sueur.
Je leur ai dit quand même de faire une pause pour ne pas tomber cardiaques car je n’ai pas le brevet de secourisme mais ils me disaient que c’était moi leur secouriste en amour.
La seconde partie de cette scène, après la suce, dura vingt minutes et ils me montraient après des gémissements qu’ils allaient jouir. Leur réplique :
– Viens aussi souvent que possible car nous sommes souvent en manque de personnel comme vous!
Les pompiers sont sympas.
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